Stratégie de contre-insurrection du Pakistan: erreurs passées et options futures

Pendant des décennies, la stratégie des pièces de monnaie du Pakistan s'appuie sur une approche dépassée et lourde de force - opérations militaires de haute intensité, victoires tactiques rapides et brefs moments de stabilité

For decades, Pakistan's counterinsurgency (COIN) strategy has relied on an outdated, force-heavy approach— high-intensity military operations, swift tactical victories, and brief moments of stability, only for insurgencies to resurface with greater adaptability. This cycle of violence, a damning indictment of a flawed playbook, exposes the limitations of relying solely on kinetic force while neglecting the socio-political realities that sustain militancy.

Pendant des décennies, la stratégie de contre-insurrection (COIN) du Pakistan s'est appuyée sur une approche obsolète et lourde de force - des opérations militaires de haute intensité, des victoires tactiques rapides et de brefs moments de stabilité, uniquement pour que les insurrections refont surface avec une plus grande adaptabilité. Ce cycle de violence, un acte d'accusation accablant d'un livre de jeu imparfait, expose les limites de s'appuyer uniquement sur la force cinétique tout en négligeant les réalités socio-politiques qui soutiennent le militantisme.

While battlefield successes may suppress threats momentarily, they fail to address the root causes of insurgency, ensuring that extremist networks remain resilient, ready to exploit state missteps and return with renewed force. The same fundamental errors persist— overlooking grassroots intelligence networks, sidelining indigenous populations, and ignoring the grievances that allow militant narratives to take hold.

Bien que les succès du champ de bataille puissent supprimer momentanément les menaces, ils ne parviennent pas à aborder les causes profondes de l'insurrection, garantissant que les réseaux extrémistes restent résilients, prêts à exploiter les faux pas et à revenir avec une force renouvelée. Les mêmes erreurs fondamentales persistent - surplombant les réseaux d'intelligence de base, la touche des populations autochtones et ignorant les griefs qui permettent aux récits militants de s'installer.

The pattern is unmistakable. From the tribal districts to Balochistan, every phase of insurgency has revealed the inadequacy of an approach that prioritizes military solutions over a holistic COIN framework. Pakistan's security establishment has yet to internalize a critical lesson: counterinsurgency is not won through firepower alone but through a multi-pronged strategy that combines intelligence-driven operations, political engagement, economic empowerment, and social integration.

Le motif est indubitable. Des districts tribaux au Baloutchistan, chaque phase de l'insurrection a révélé l'insuffisance d'une approche qui priorise les solutions militaires sur un cadre de pièces holistique. L'établissement de sécurité du Pakistan n'a pas encore intériorisé une leçon critique: la contre-insurrection n'est pas gagnée par la seule puissance de feu mais par une stratégie à plusieurs volets qui combine des opérations axées sur le renseignement, l'engagement politique, l'autonomisation économique et l'intégration sociale.

Global case studies— from the U.S. failures in Afghanistan to the Sri Lankan military’s mixed success against the Liberation Tamil Tigers of Eelam— prove that sustainable peace is only possible when states address the underlying conditions that fuel rebellion. If Pakistan fails to recalibrate its strategy, it risks becoming trapped in a perpetual war— fighting the same enemies, using the same ineffective tactics, expecting different results.

Les études de cas mondiales - des échecs américains en Afghanistan au succès mitigé de l'armée sri-lankaise contre les tigres tamouls de libération d'Eelam - prouvent que la paix durable n'est possible que lorsque les États s'adressent aux conditions sous-jacentes que la rébellion de carburant. Si le Pakistan ne recalibre pas sa stratégie, il risque de se piéger dans une guerre perpétuelle - combattant les mêmes ennemis, en utilisant les mêmes tactiques inefficaces, en s'attendant à des résultats différents.

The resurgence of terrorism is not an anomaly; it is the inevitable outcome of Pakistan's short-sighted COIN strategy, which continues to prioritize military might over comprehensive counterinsurgency principles. Insurgencies do not thrive in a vacuum— they are fed by political exclusion, economic despair, and the absence of state legitimacy. Military campaigns may kill insurgents, but they do not kill insurgencies. Without addressing the systemic injustices that drive people into the arms of militant groups, every so-called “victory” remains an illusion— a temporary pause before the next insurgent wave. Pakistan must abandon its fixation on body counts and adopt a strategy centered on dismantling militant ecosystems at their very roots.

La résurgence du terrorisme n'est pas une anomalie; C'est le résultat inévitable de la stratégie de pièces de monnaie à courte vue du Pakistan, qui continue de prioriser les militaires pour les principes complets de contre-insurrection. Les insurrections ne prospèrent pas dans le vide - elles sont alimentées par l'exclusion politique, le désespoir économique et l'absence de légitimité de l'État. Les campagnes militaires peuvent tuer des insurgés, mais ils ne tuent pas les insurrections. Sans s'adresser aux injustices systémiques qui poussent les gens dans les bras des groupes militants, chaque soi-disant «victoire» reste une illusion - une pause temporaire avant la prochaine vague d'insurgés. Le Pakistan doit abandonner sa fixation sur le nombre de corps et adopter une stratégie centrée sur le démantèlement des écosystèmes militants à leurs racines.

A fundamental shift is imperative. A counterinsurgency strategy that does not integrate the people as allies is destined to fail. If Pakistan wishes to break free from the shackles of perpetual conflict, it must rewrite its COIN playbook— into one that prioritizes not just the defeat of militants, but the reclamation of hearts and minds.

Un changement fondamental est impératif. Une stratégie de contre-insurrection qui n'intègre pas le peuple car les alliés sont destinés à échouer. Si le Pakistan souhaite se libérer des entraves du conflit perpétuel, il doit réécrire son livre de jeu de pièces - en un livre qui privilégie non seulement la défaite des militants, mais la remise en état des cœurs et des esprits.

Counterinsurgency, by definition, is not just about eliminating insurgents; it is about winning over populations, dismantling support networks, and ensuring long-term stability. Modern COIN strategies have evolved from colonial-era doctrines that combined military suppression with efforts to win “hearts and minds.” The British in Northern Ireland, the Philippines against the Moro insurgents, and even American campaigns in Iraq and Vietnam have demonstrated that insurgencies are not purely military conflicts but socio-political struggles demanding multifaceted responses. Yet, Pakistan’s strategy remains disproportionately tilted toward kinetic operations, failing to incorporate crucial political, economic, and psychological dimensions.

La contre-insurrection, par définition, ne consiste pas seulement à éliminer les insurgés; Il s'agit de gagner des populations, de démonter des réseaux de soutien et d'assurer la stabilité à long terme. Les stratégies modernes de pièces ont évolué à partir de doctrines de l'ère coloniale qui combinaient la suppression militaire avec les efforts pour gagner des «cœurs et des esprits». Les Britanniques en Irlande du Nord, les Philippines contre les insurgés de Moro, et même les campagnes américaines en Irak et au Vietnam ont démontré que les insurrections ne sont pas des conflits militaires purement militaires mais des luttes socio-politiques exigeant des réponses multiformes. Pourtant, la stratégie du Pakistan reste disproportionnée vers les opérations cinétiques, ne faisant pas d'incorporer des dimensions politiques, économiques et psychologiques.

The British success in Malaya against communist insurgents in the 1950s provides a striking contrast to Pakistan’s flawed approach. Instead of relying solely on brute force, the British combined military operations with political reforms, economic incentives, and local empowerment, thereby cutting off the insurgents’ support base. The Malayan Emergency was won not through indiscriminate bombings or mass arrests but by creating conditions that made insurgency an unattractive option. In contrast, Pakistan’s counterinsurgency campaigns, whether in Swat, North Waziristan, or Balochistan, have rarely been followed by meaningful political engagement or economic rejuvenation. The absence of a post-conflict rehabilitation plan means that areas cleared of militants remain vulnerable to re-infiltration, turning every military success into a transient, illusory achievement.

Le succès britannique en Malaisie contre les insurgés communistes dans les années 1950 donne un contraste frappant à l'approche défectueuse du Pakistan. Au lieu de s'appuyer uniquement sur la force brute, les Britanniques ont combiné les opérations militaires avec des réformes politiques, des incitations économiques et l'autonomisation locale, réduisant ainsi la base de soutien des insurgés. L'urgence malaise a été gagnée non pas par des attentats aveugles ou des arrestations de masse, mais en créant des conditions qui ont fait de l'insurrection une option peu attrayante. En revanche, les campagnes de contre-insurrection du Pakistan, que ce soit à Swat, au Nord du Waziristan ou au Baloutchistan, ont rarement été suivies d'un engagement politique significatif ou d'un rajeunissement économique. L'absence d'un plan de réhabilitation post-conflit signifie que les zones éteintes des militants restent vulnérables à la réinfiltration, transformant chaque succès militaire en une réussite transitoire et illusoire.

Successive military operations— Zarb-e-Azb, Radd-ul-Fasaad, and now Azm-e-Istehkam— have undoubtedly eliminated key militant strongholds and disrupted terror networks. However, long-term peace remains elusive. The recent hijacking of the Jaffar Express in Balochistan, which claimed the lives of 21 hostages and four security personnel, is a chilling reminder that insurgents are far from being defeated. Their ability to carry out such high-profile attacks exposes a fundamental flaw in Pakistan’s approach: the state has been fighting symptoms while ignoring the disease. The persistent unrest in Khyber Pakhtunkhwa and Balochistan raises an uncomfortable question— has Pakistan learned anything from its past failures, or is it merely recycling the same ineffective tactics under different names?

Les opérations militaires successives - zarb-e-azb, radd-ul-fasaad et maintenant azm-e-istehkam - ont sans aucun doute éliminé les bastions militants clés et perturbé les réseaux terroristes. Cependant, la paix à long terme reste insaisissable. Le détournement récent du Jaffar Express au Baloutchistan, qui a coûté la vie à 21 otages et quatre membres du personnel de sécurité, est un rappel effrayant que les insurgés sont loin d'être vaincus. Leur capacité à mener des attaques de haut niveau expose un défaut fondamental dans l'approche du Pakistan: l'État a combattu les symptômes tout en ignorant la maladie. Les troubles persistants à Khyber Pakhtunkhwa et au Baloutchistan soulèvent une question inconfortable - le Pakistan a-t-il appris quelque chose de ses échecs passés, ou est-il simplement recyclé les mêmes tactiques inefficaces sous différents noms?

The choice before Pakistan is stark and unforgiving: persist with a failing strategy that breeds more conflict or adopt a new path grounded in inclusivity, justice, and political reconciliation. Anything short of this is a betrayal of the sacrifices made, a failure of leadership, and a guarantee that today’s

Le choix devant le Pakistan est frappant et impitoyable: persister avec une stratégie défaillante qui engendre plus de conflits ou adopte une nouvelle voie fondée sur l'inclusivité, la justice et la réconciliation politique. Tout ce qui ne manque