La monnaie de l'Iran a chuté des nouveaux bas après que Trump a réinst fait la politique de «pression maximale»

La monnaie iranienne a chuté vers de nouveaux bas contre le dollar après que le président américain Donald Trump a rétabli sa politique de «pression maximale» contre l'Iran.

The Iranian currency continued to plummet against the dollar on Feb. 9, as the U.S. administration’s maximum pressure policy appeared to be impacting markets.

La monnaie iranienne a continué de chuter contre le dollar le 9 février, car la politique de pression maximale de l'administration américaine semblait avoir un impact sur les marchés.

One U.S. dollar was trading for 890,000 rials on Feb. 8, according to a Bloomberg report, while other reports indicated the currency breached 900,000 rials within 24 hours. The rial has depreciated by 75% over the past 12 months, making it one of the worst performing currencies in that period.

Un dollar américain se négociait à 890 000 rials le 8 février, selon un rapport de Bloomberg, tandis que d'autres rapports ont indiqué que la devise avait violé 900 000 rials dans les 24 heures. Le rial s'est déprécié de 75% au cours des 12 derniers mois, ce qui en fait l'une des devises les moins performantes de cette période.

Some observers linked the rial’s decline to reports that Iran’s Supreme Leader Ayatollah Ali Khamenei had ruled out talks with the Trump administration.

Certains observateurs ont lié le déclin du Rial aux rapports selon lesquels le chef suprême de l'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, avait exclu les pourparlers avec l'administration Trump.

However, Iranian Foreign Minister Abbas Araghchi on Feb. 9 said that his country is open to talks with the U.S. but rejects Trump’s policy. He added that Iran does not “want to negotiate with a country that is simultaneously imposing new sanctions.”

Cependant, le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, le 9 février, a déclaré que son pays était ouvert aux discussions avec les États-Unis mais rejette la politique de Trump. Il a ajouté que l'Iran ne "veut pas négocier avec un pays qui impose simultanément de nouvelles sanctions".

Reacting to reports of the rial’s plunge, Richard Goldberg, senior adviser at the Foundation for the Defense of Democracies, said that markets are responding to Trump’s maximum pressure rhetoric.

Réagissant aux rapports du plongeon du Rial, Richard Goldberg, conseiller principal à la Fondation for the Defense of Democracies, a déclaré que les marchés répondaient à la rhétorique de pression maximale de Trump.

“This is a direct result of President Trump’s very public and clear directive to restore maximum pressure on Tehran. The president dramatically increased his leverage by making maximum pressure an official policy for the market to see, and he will continue increasing his leverage with each major enforcement action taken pursuant to his order,” Goldberg is quoted as saying by Press TV.

«Il s'agit du résultat direct de la directive très publique et claire du président Trump pour rétablir une pression maximale sur Téhéran. Le président a considérablement augmenté son effet de levier en faisant de la pression maximale une politique officielle pour le marché, et il continuera à augmenter son effet de levier avec chaque principale mesure d'application prise conformément à son ordre », a déclaré Goldberg, cité par Press TV.

“Sanctions leverage has a lot to do with psychology and momentum, so the market needs to see a sustained campaign for the president to achieve his objectives.”

«Les sanctions levier ont beaucoup à voir avec la psychologie et l'élan, donc le marché doit voir une campagne soutenue pour le président pour atteindre ses objectifs.»

As part of Trump’s maximum pressure policy, the U.S. is set to impose financial sanctions on individuals and entities thought to be facilitating the shipment of hundreds of millions of dollars’ worth of Iranian crude oil to China. The policy will also see U.S. officials working toward implementing “a campaign aimed at driving Iran’s oil exports to zero.”

Dans le cadre de la politique de pression maximale de Trump, les États-Unis devraient imposer des sanctions financières aux particuliers et aux entités qui facilitent l'expédition de centaines de millions de dollars de pétrole brut iranien en Chine. La politique verra également des responsables américains s'efforcer de mettre en œuvre «une campagne visant à conduire les exportations de pétrole iranien à zéro».