bitcoin
bitcoin

$95452.903888 USD

-3.73%

ethereum
ethereum

$3318.988036 USD

-4.58%

tether
tether

$0.998919 USD

-0.02%

xrp
xrp

$2.149575 USD

-6.93%

bnb
bnb

$687.801637 USD

-2.30%

solana
solana

$188.030607 USD

-5.59%

dogecoin
dogecoin

$0.311995 USD

-6.45%

usd-coin
usd-coin

$0.999946 USD

-0.01%

cardano
cardano

$0.859737 USD

-6.39%

tron
tron

$0.252597 USD

-2.11%

avalanche
avalanche

$37.341355 USD

-7.84%

toncoin
toncoin

$5.723371 USD

-4.02%

chainlink
chainlink

$22.622076 USD

-8.08%

shiba-inu
shiba-inu

$0.000021 USD

-6.70%

sui
sui

$4.178086 USD

-8.76%

Articles d’actualité sur les crypto-monnaies

Le tribunal de Paris confirme la sanction prononcée contre une clinique anti-chute pour allégations trompeuses

Apr 15, 2024 at 12:48 pm

La cour d'appel de Paris a confirmé la légalité des mises en demeure prononcées contre le Centre Clauderer à Paris, lui ordonnant de cesser ses "pratiques commerciales trompeuses". L'entreprise commercialise une « solution » pour « traiter l'alopécie », une maladie auto-immune. La DDPP (Direction départementale de la protection des populations) avait accusé l'entreprise de "fausses allégations de partenariats et de détention de brevets" et d'"allégations insuffisamment étayées sur son site Internet quant à l'efficacité des traitements" qu'elle commercialise.

Le tribunal de Paris confirme la sanction prononcée contre une clinique anti-chute pour allégations trompeuses

Tribunal administratif confirme la légalité des mesures coercitives contre le Centre Clauderer pour pratiques commerciales trompeuses

Tribunal administratif confirme la légalité des mesures coercitives contre le Centre Clauderer pour pratiques commerciales trompeuses

Paris, France - La Cour administrative d'appel de Paris a rendu un verdict retentissant, confirmant la légalité des mesures coercitives imposées au Centre Clauderer, un laboratoire renommé pour ses traitements contre la perte de cheveux. La Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de Paris avait émis des mises en demeure au centre pour mettre fin à des "pratiques commerciales trompeuses" liées à son "sérum" contre la chute capillaire.

Paris, France - La Cour administrative d'appel de Paris a rendu un verdict retentissant, confirmant la légalité des mesures coercitives imposées au Centre Clauderer, un laboratoire renommé pour ses traitements contre la perte de cheveux. La Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de Paris avait émis des mises en demeure au centre pour mettre fin à des "pratiques commerciales trompeuses" liées à son "sérum" contre la chute capillaire.

Allégations d'efficacité non étayées

Allégations d'efficacité non étayées

Le Centre Clauderer, dont le siège social est situé rue Saint-Honoré, commercialise une "solution" pour "traiter l'alopécie", une maladie auto-immune qui affecte notamment l'ancien Premier ministre Édouard Philippe. Sur son site Internet, le centre affirme que les "actifs" utilisés dans ses sérums ont "démontré in vitro un bénéfice largement supérieur à celui du Minoxidil", le traitement habituellement prescrit en cas de perte de cheveux. Il promet en outre une "augmentation de la taille des racines" de "près de 73%" et un épaississement des cheveux de "plus de 35,5%" après quatre mois de traitement.

Le Centre Clauderer, dont le siège social est situé rue Saint-Honoré, commercialise une "solution" pour "traiter l'alopécie", une maladie auto-immune qui affecte notamment l'ancien Premier ministre Édouard Philippe. Sur son site Internet, le centre affirme que les "actifs" utilisés dans ses sérums ont "démontré in vitro un bénéfice largement supérieur à celui du Minoxidil", le traitement habituellement prescrit en cas de perte de cheveux. Il promet en outre une "augmentation de la taille des racines" de "près de 73%" et un épaississement des cheveux de "plus de 35,5%" après quatre mois de traitement.

Cependant, les inspecteurs de la DDPP, lors d'un contrôle réalisé en mars 2019, ont conclu que les preuves de l'efficacité des sérums étaient "insuffisantes". Le Centre Clauderer a présenté une copie d'écran d'une demande de dépôt de brevet français déposée auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) et la documentation qui l'accompagnait, mais les juges ont noté que ces documents n'indiquaient pas l'auteur ou la date des expériences dont les résultats étaient mis en avant. De plus, le brevet n'a jamais été délivré et est officiellement déchu depuis mars 2021.

Cependant, les inspecteurs de la DDPP, lors d'un contrôle réalisé en mars 2019, ont conclu que les preuves de l'efficacité des sérums étaient "insuffisantes". Le Centre Clauderer a présenté une copie d'écran d'une demande de dépôt de brevet français déposée auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) et la documentation qui l'accompagnait, mais les juges ont noté que ces documents n'indiquaient pas l'auteur ou la date des expériences dont les résultats étaient mis en avant. De plus, le brevet n'a jamais été délivré et est officiellement déchu depuis mars 2021.

Études et méthodologie insuffisantes

Études et méthodologie insuffisantes

Le Centre Clauderer a également argué que son "programme de recherche" avait démontré des "résultats dépassant ceux obtenus avec les autres traitements du marché". Toutefois, la cour a objecté que la méthodologie utilisée n'était pas clairement établie et que la durée de l'étude était insuffisante, soit cinq jours seulement, contre les quatre mois minimum prévus pour le traitement.

Le Centre Clauderer a également argué que son "programme de recherche" avait démontré des "résultats dépassant ceux obtenus avec les autres traitements du marché". Toutefois, la cour a objecté que la méthodologie utilisée n'était pas clairement établie et que la durée de l'étude était insuffisante, soit cinq jours seulement, contre les quatre mois minimum prévus pour le traitement.

Les "études" présentées par le centre étaient également "non datées, non signées et émanant d'un auteur inconnu", ce qui les rendait insuffisantes pour établir l'efficacité alléguée.

Les "études" présentées par le centre étaient également "non datées, non signées et émanant d'un auteur inconnu", ce qui les rendait insuffisantes pour établir l'efficacité alléguée.

Composants exacts mais efficacité non prouvée

Composants exacts mais efficacité non prouvée

Bien que le Centre Clauderer ait justifié l'exactitude des informations sur la composition de ses sérums, la DDPP était légalement habilitée à exiger l'arrêt de toute pratique commerciale trompeuse, dès lors que l'efficacité des sérums 6R et 7R n'était pas établie.

Bien que le Centre Clauderer ait justifié l'exactitude des informations sur la composition de ses sérums, la DDPP était légalement habilitée à exiger l'arrêt de toute pratique commerciale trompeuse, dès lors que l'efficacité des sérums 6R et 7R n'était pas établie.

Réponse du Centre Clauderer

Réponse du Centre Clauderer

Contacté par la presse, le Centre Clauderer a rappelé que depuis soixante ans, il accompagne avec succès des milliers de personnes confrontées à des problèmes de cheveux. Il estime que la décision de justice ne remet pas en question l'efficacité de sa méthode, mais considère qu'elle n'apporte pas de détails supplémentaires sur la méthodologie utilisée pour démontrer l'efficacité de ses produits.

Contacté par la presse, le Centre Clauderer a rappelé que depuis soixante ans, il accompagne avec succès des milliers de personnes confrontées à des problèmes de cheveux. Il estime que la décision de justice ne remet pas en question l'efficacité de sa méthode, mais considère qu'elle n'apporte pas de détails supplémentaires sur la méthodologie utilisée pour démontrer l'efficacité de ses produits.

La décision de la Cour administrative d'appel de Paris constitue un rappel important de l'importance de fournir des preuves solides pour étayer les allégations d'efficacité des produits de santé. Les consommateurs doivent être en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur santé, en se basant sur des informations précises et fiable

La décision de la Cour administrative d'appel de Paris constitue un rappel important de l'importance de fournir des preuves solides pour étayer les allégations d'efficacité des produits de santé. Les consommateurs doivent être en mesure de prendre des décisions éclairées sur leur santé, en se basant sur des informations précises et fiable

Clause de non-responsabilité:info@kdj.com

The information provided is not trading advice. kdj.com does not assume any responsibility for any investments made based on the information provided in this article. Cryptocurrencies are highly volatile and it is highly recommended that you invest with caution after thorough research!

If you believe that the content used on this website infringes your copyright, please contact us immediately (info@kdj.com) and we will delete it promptly.

Autres articles publiés sur Dec 27, 2024