bitcoin
bitcoin

$99459.42 USD 

2.28%

ethereum
ethereum

$3383.64 USD 

8.19%

tether
tether

$1.00 USD 

0.08%

solana
solana

$260.61 USD 

7.79%

bnb
bnb

$630.77 USD 

3.09%

xrp
xrp

$1.38 USD 

25.15%

dogecoin
dogecoin

$0.394350 USD 

2.28%

usd-coin
usd-coin

$0.999897 USD 

0.00%

cardano
cardano

$0.872140 USD 

11.59%

tron
tron

$0.199188 USD 

0.77%

avalanche
avalanche

$36.08 USD 

6.08%

shiba-inu
shiba-inu

$0.000025 USD 

3.21%

toncoin
toncoin

$5.54 USD 

0.99%

sui
sui

$3.57 USD 

1.33%

bitcoin-cash
bitcoin-cash

$494.59 USD 

-6.37%

Articles d’actualité sur les crypto-monnaies

En octobre, la richesse familiale et les intrigues apparaissent dans les romans japonais et palestiniens

Oct 05, 2024 at 02:00 am

Retracer les générations et révéler des secrets surprenants dans le processus. Ce ne sont pas des histoires de fantômes, mais elles peuvent quand même finir par vous hanter.

En octobre, la richesse familiale et les intrigues apparaissent dans les romans japonais et palestiniens

Two new novels explore familial wealth and intrigue.

Deux nouveaux romans explorent la richesse et les intrigues familiales.

Mina’s Matchbox by Yoko Ogawa follows 12-year-old Tomoko as she spends a year at her aunt's home in coastal Japan in 1972. Her aunt's husband is half German, and Tomoko is fascinated by her half- and quarter-Asian relatives' looks. She notes their chestnut hair, “deep recesses” around her uncle's eyes, and a “rich shadow” cast by the bridge of Mina’s nose. Tomoko and the family she is living with have clear pride in their country, but bygone European grandeur seems to hold a certain draw for all of them.

Mina's Matchbox de Yoko Ogawa suit Tomoko, 12 ans, alors qu'elle passe un an chez sa tante sur la côte japonaise en 1972. Le mari de sa tante est à moitié allemand et Tomoko est fascinée par l'apparence de ses parents à moitié et quart asiatiques. Elle note leurs cheveux châtains, les « creux profonds » autour des yeux de son oncle et une « ombre riche » projetée par l'arête du nez de Mina. Tomoko et la famille avec laquelle elle vit sont clairement fiers de leur pays, mais la grandeur européenne d’antan semble les attirer tous.

The Coin by Yasmin Zaher follows an ultrawealthy Palestinian woman who moves to New York City to become a teacher at an all-boys school. She is woefully underqualified for the job, having obtained it via connections, and proves a reckless educator—pocketing money students raised at a charity bake sale and regularly holding what she calls a “free class,” where students sit around and do nothing. But above all, the narrator is obsessed with cleanliness. “In New York I saw the dirtiest people I had ever seen,” she explains, “I came from Palestine … and the women in my life placed a lot of importance on being clean, perhaps because there was little else they could control in their lives.”

The Coin de Yasmin Zaher suit une Palestinienne ultra-riche qui déménage à New York pour devenir enseignante dans une école réservée aux garçons. Elle est terriblement sous-qualifiée pour ce poste, l'ayant obtenu grâce à ses relations, et se révèle une éducatrice imprudente : elle empoche l'argent récolté par les étudiants lors d'une vente de pâtisseries caritative et organise régulièrement ce qu'elle appelle un « cours gratuit », où les étudiants restent assis et ne font rien. Mais surtout, le narrateur est obsédé par la propreté. « À New York, j'ai vu les gens les plus sales que j'aie jamais vus », explique-t-elle. « Je venais de Palestine… et les femmes de ma vie accordaient beaucoup d'importance à la propreté, peut-être parce qu'elles ne pouvaient pas contrôler grand-chose d'autre dans leur vie. vies."

She details the grime she sees everywhere in the city, devoting hours each week to what she calls a “CVS Retreat” to rid her body of the dirt it has amassed. Eventually, her disgust leads her to abandon her Burberry trench coat, only to become ensnared in a multinational luxury bag reselling scheme after she encounters an unhoused man wearing the jacket weeks later.

Elle détaille la saleté qu'elle voit partout dans la ville, consacrant des heures chaque semaine à ce qu'elle appelle une « retraite CVS » pour débarrasser son corps de la saleté qu'il a accumulée. Finalement, son dégoût l'amène à abandonner son trench-coat Burberry, pour ensuite se retrouver prise au piège dans un système multinational de revente de sacs de luxe après avoir rencontré un homme sans logement portant la veste des semaines plus tard.

Source de nouvelles:foreignpolicy.com

Clause de non-responsabilité:info@kdj.com

Les informations fournies ne constituent pas des conseils commerciaux. kdj.com n’assume aucune responsabilité pour les investissements effectués sur la base des informations fournies dans cet article. Les crypto-monnaies sont très volatiles et il est fortement recommandé d’investir avec prudence après une recherche approfondie!

Si vous pensez que le contenu utilisé sur ce site Web porte atteinte à vos droits d’auteur, veuillez nous contacter immédiatement (info@kdj.com) et nous le supprimerons dans les plus brefs délais.

Autres articles publiés sur Nov 22, 2024