COIN n'a plus peur de la musique : critique

Le trio, basé à Nashville, Tennessee, composé de Chase Lawrence, Ryan Winnen et Joe Memmel, et après la sortie de leur disque de 2022, Uncanny Valley, ne semblait apparemment pas inspiré.

COIN is back, and they’re not afraid of themselves anymore. The Nashville-based trio, comprised of Chase Lawrence, Ryan Winnen, and Joe Memmel, felt uninspired after releasing their 2022 record, Uncanny Valley. As Lawrence expressed in an Instagram post about two months ago, “it felt like we were ready to quit a little bit, like six months ago at least I was.” He went on to describe the disconnection they felt from the music and from each other.

COIN est de retour et ils n'ont plus peur d'eux-mêmes. Le trio basé à Nashville, composé de Chase Lawrence, Ryan Winnen et Joe Memmel, ne s'est pas senti inspiré après la sortie de son disque de 2022, Uncanny Valley. Comme Lawrence l’a exprimé dans une publication sur Instagram il y a environ deux mois, « c’était comme si nous étions prêts à arrêter un peu, comme il y a au moins six mois je l’étais. » Il a ensuite décrit la déconnexion qu'ils ressentaient par rapport à la musique et les uns des autres.

Their fifth studio album, I’m Not Afraid Of Music Anymore, serves as the band’s testament to their commitment to authenticity and vulnerability, confessing and facing their fears up front and sharing them publicly with the world.

Leur cinquième album studio, I'm Not Afraid Of Music Anymore, témoigne de leur engagement en faveur de l'authenticité et de la vulnérabilité, confessant et affrontant leurs peurs d'emblée et les partageant publiquement avec le monde.

In a world where everything competes for our time and attention, the album begins with “It’s Hard To Care About Everything,” discussing precisely that concept. The first track features an easy chorus backed by a choir, ultimately highlighting being overwhelmed by choice as life is boiled down to whom and what we choose to surround ourselves with. “Take It Or Leave It” debuted earlier this year in Florida at the Gasparilla Music Festival. The song pleads for a clean break rather than a romance that ends slowly and painfully. “Back of mind / You’re better off with / One love, two mouths / A missed call and a pretty boyfriend” cements that the narrator sees their partner with someone else already. In an interesting end, we see a hint of self reflection from the pre chorus saying “You’re better off alone” to the outro realizing “I’m better off alone”. 

Dans un monde où tout rivalise pour notre temps et notre attention, l'album commence par « It's Hard To Care About Everything », discutant précisément de ce concept. Le premier morceau présente un refrain facile soutenu par une chorale, soulignant finalement le fait d'être submergé par le choix alors que la vie se résume à qui et à quoi nous choisissons de nous entourer. « Take It Or Leave It » a fait ses débuts plus tôt cette année en Floride au Gasparilla Music Festival. La chanson plaide pour une rupture nette plutôt que pour une romance qui se termine lentement et douloureusement. "Retour d'esprit / Tu es mieux avec / Un amour, deux bouches / Un appel manqué et un joli petit ami" cimente le fait que le narrateur voit déjà son partenaire avec quelqu'un d'autre. Dans une fin intéressante, nous voyons un soupçon d'auto-réflexion depuis le pré-refrain disant "Tu es mieux seul" jusqu'à l'outro réalisant "Je suis mieux seul".

Including a backing electric guitar reminiscent of early 2000s rock (The Strokes, to be specific), “Asking For A Friend” is a bittersweet play on the phrase where the band turns it into unrequited love. They call back to their own song “I Don’t Wanna Dance”, in the new song’s lyrics “And I don’t wanna let you down, down”, referencing their past, “I let you down / I know it / I’ll let you down over and over”. The references continue into “Slack”, dubbed as “the most COIN song ever”. This song was the final single released before the album, including more callbacks to longtime favorites “Crash My Car” and “Talk Too Much”. Lead singer Chase Lawerence said, “Slack is a love letter to our band, tying the journey together with a loose knot. Coin has been stretched in every direction, but we embrace every shape and size, even the ones that no longer fit right into place.” “Along For The Ride” feels just like that, and refers to a relationship that may just be pulled from a surface level script, nothing deeper than an act. 

Comprenant une guitare électrique d'accompagnement rappelant le rock du début des années 2000 (The Strokes, pour être précis), « Asking For A Friend » est un jeu doux-amer sur la phrase où le groupe la transforme en amour non partagé. Ils rappellent leur propre chanson « I Don't Wanna Dance », dans les paroles de la nouvelle chanson « And I don't wanna let you down, down », faisant référence à leur passé, « Je t'ai laissé tomber / Je le sais / Je je vous décevrai encore et encore ». Les références se poursuivent dans « Slack », surnommée « la chanson la plus COIN de tous les temps ». Cette chanson était le dernier single sorti avant l'album, comprenant d'autres rappels des favoris de longue date « Crash My Car » et « Talk Too Much ». Le chanteur Chase Lawerence a déclaré : « Slack est une lettre d'amour à notre groupe, reliant le voyage avec un nœud lâche. La pièce a été étirée dans toutes les directions, mais nous acceptons toutes les formes et toutes les tailles, même celles qui ne correspondent plus à leur place. "Along For The Ride" ressemble exactement à cela et fait référence à une relation qui peut simplement être tirée d'un script superficiel, rien de plus profond qu'un acte.

Addressing Hollywood, media, and fame, “Problem” immediately reminded me of 5 Seconds Of Summer’s “No Shame”, both songs including topics of what happens when you are recognized by the public eye. Referencing Malibu 1992 and Getting Older, the lyrics are cynical and mesh well with the album’s rockiest song on the album yet, “Ah, is this getting easier / Or am I just getting older? / My eyes are just getting sleepier / I’m just getting sober”. We take a complete 180 to “Blueberry Smoothie”, another song title in an increasing trend of COIN song titles that includes fruit (Cutie, and later in the album, Strawberry Jam). Upon first listen, the song can be a metaphor for someone sticking around, their impression lasting. However it has been debunked that the song is actually more literal than anything else. 

Abordant Hollywood, les médias et la célébrité, "Problem" m'a immédiatement rappelé "No Shame" de 5 Seconds Of Summer, les deux chansons incluant des sujets sur ce qui se passe lorsque vous êtes reconnu par le public. Faisant référence à Malibu 1992 et Getting Older, les paroles sont cyniques et s'accordent bien avec la chanson la plus rock de l'album à ce jour : « Ah, est-ce que ça devient plus facile / Ou est-ce que je vieillis juste ? / Mes yeux deviennent de plus en plus endormis / Je deviens juste sobre ». Nous prenons un 180 complet pour « Blueberry Smoothie », un autre titre de chanson dans une tendance croissante des titres de chansons COIN qui incluent des fruits (Cutie, et plus tard dans l'album, Strawberry Jam). Dès la première écoute, la chanson peut être une métaphore pour quelqu’un qui reste, dont l’impression perdure. Cependant, il a été démystifié selon lequel la chanson est en réalité plus littérale qu'autre chose.

“222” had me picturing William Miller from Almost Famous, as he fell for Penny Lane, with lyrics “And she said, “Every time you fall in love / You wanna meet the band / Oh honey, every time I leave / I hope you understand, understand”. Considered an “angel number”,  “222 can be a confirmation about those current choices, or it can alert you that there are important partnerships coming in the near future.” The piano twinkles sprinkled in after the first chorus and again after lines in the verses gives the soft song a unique touch, really leaning into something dreamlike. The “Growing Song” leads someone to believe that it’s about growing apart from another person while it is actually about shedding an older version of yourself. It includes an instrumental break at the 2 minute mark including strings, fingerpicking, and flighty backing vocals, reminiscent of George Daniels’ production with The 1975’s interlude songs. “Bloodtype” follows, and has a distinctly country feel, like a song sung around a bonfire. Their use of an electric guitar and backing synths keeps this from being too twangy. “Olivia” is an easy listen, using G and D chord variations and again refers to another one of the band’s songs “Nobody’s

"222" m'a fait imaginer William Miller de Almost Famous, alors qu'il tombait amoureux de Penny Lane, avec les paroles "Et elle a dit:" Chaque fois que tu tombes amoureux / Tu veux rencontrer le groupe / Oh chérie, chaque fois que je pars / J'espère tu comprends, tu comprends ». Considéré comme un « chiffre angélique », « 222 peut être une confirmation de ces choix actuels, ou il peut vous alerter que des partenariats importants sont à venir dans un avenir proche ». Les scintillements du piano parsemés après le premier refrain et encore après les lignes des couplets donnent à la chanson douce une touche unique, penchant vraiment vers quelque chose de onirique. La « Chanson de croissance » amène quelqu'un à croire qu'il s'agit de se séparer d'une autre personne, alors qu'il s'agit en réalité de se débarrasser d'une ancienne version de soi-même. Il comprend une pause instrumentale au bout de 2 minutes comprenant des cordes, un fingerpicking et des chœurs volatils, rappelant la production de George Daniels avec les chansons d'intermède de The 1975. "Bloodtype" suit et a une ambiance typiquement country, comme une chanson chantée autour d'un feu de joie. Leur utilisation d'une guitare électrique et de synthés d'accompagnement évite que cela soit trop vibrant. "Olivia" est une écoute facile, utilisant des variations d'accords G et D et fait encore référence à une autre chanson du groupe "Nobody's