Deux jours après le début de sa présidence, Donald Trump n'a toujours pas publié de décret spécifique à la cryptographie, mais bon, même Jésus a attendu trois jours avant sa grande révélation.

Le retard de la réserve BTC commence à s'aggraver • La liste de souhaits de Brian Armstrong en matière de cryptographie à Washington DC • La Bank of America est prête à effectuer des paiements en pièces stables • Coinbase s'en prend à Tether • La controverse sur les memecoins de Trump ne disparaît pas • Les démocrates pourraient bloquer la législation sur les actifs numériques • La SEC lance son « groupe de travail sur la cryptographie » • Tigran de Binance Gambaryan prépare son retour

Two days into his presidency, Donald Trump still hasn’t issued any crypto-specific executive orders, but hey, even Jesus waited three days before his big reveal.

Deux jours après le début de sa présidence, Donald Trump n'a toujours pas publié de décret spécifique à la cryptographie, mais bon, même Jésus a attendu trois jours avant sa grande révélation.

• BTC reserve delay starts to grate

• Le délai de réserve BTC commence à s'aggraver

• Brian Armstrong’s D.C. crypto wish list

• Liste de souhaits cryptographiques DC de Brian Armstrong

• Bank of America pumped for stablecoin payments

• Bank of America se réjouit des paiements stables

• Coinbase shivs Tether

• Coinbase s'en prend à Tether

• Trump memecoin controversy not going away

• La controverse sur les memecoins de Trump ne disparaît pas

• Democrats could stall digital asset legislation

• Les démocrates pourraient bloquer la législation sur les actifs numériques

• SEC launches’ crypto task force’

• La SEC lance un « groupe de travail sur la cryptographie »

• Binance’s Tigran Gambaryan plots his comeback

• Tigran Gambaryan de Binance prépare son retour

Where’s the reserve, Donald?

Où est la réserve, Donald ?

Day One of Trump’s second stint as U.S. President may not have ticked any of the boxes on the crypto community’s wish list of pro-crypto executive orders, but crypto CEOs are keeping the faith (in public, at least). Trump is scheduled to address this year’s World Economic Forum (WEF) gathering by video on Thursday (January 23), but many crypto execs are already in Davos cashing in on his (alleged) crypto devotion.

Le premier jour du deuxième mandat de Trump en tant que président américain n'a peut-être coché aucune des cases de la liste de souhaits de la communauté crypto en matière de décrets pro-crypto, mais les PDG de crypto gardent la foi (en public, du moins). Trump devrait s'adresser par vidéo au Forum économique mondial (WEF) de cette année jeudi 23 janvier, mais de nombreux responsables de la cryptographie sont déjà à Davos pour profiter de son (prétendu) dévouement à la cryptographie.

On January 21, the WEF hosted a crypto-focused panel that discussed Trump’s campaign pledge to establish a ‘strategic [BTC] stockpile,’ or, as the crypto kids call it, a ‘strategic reserve.’ The said stockpile/reserve would include all the BTC seized by American law enforcement as the proceeds of crime, plus—as crypto bros so desperately hope—all the BTC the U.S. government can afford to buy, thereby pumping the bags of existing HODLers.

Le 21 janvier, le WEF a organisé un panel axé sur la cryptographie qui a discuté de l'engagement de campagne de Trump d'établir un « stock stratégique [BTC] » ou, comme l'appellent les enfants de la cryptographie, une « réserve stratégique ». Ledit stock/réserve comprendrait tous les BTC saisis par les forces de l’ordre américaines en tant que produits du crime, plus – comme les frères crypto l’espèrent si désespérément – ​​tous les BTC que le gouvernement américain peut se permettre d’acheter, pompant ainsi les sacs des HODLers existants.

Among the most enthusiastic proponents of this reserve is Coinbase (NASDAQ:COIN) CEO Brian Armstrong, a first-time WEF attendee. Calling BTC “digital gold” that “will equal or even surpass gold,” Armstrong claimed BTC’s notorious fiat price volatility was becoming a thing of the past. And, in case anyone missed his main point, Armstrong claimed that a U.S. reserve “could be a huge driver of [BTC] price appreciation.”

Parmi les partisans les plus enthousiastes de cette réserve se trouve le PDG de Coinbase (NASDAQ : COIN), Brian Armstrong, qui participe pour la première fois au WEF. Qualifiant BTC « d'or numérique » qui « sera égal ou même supérieur à l'or », Armstrong a affirmé que la fameuse volatilité des prix fiduciaires de BTC devenait une chose du passé. Et, au cas où quelqu'un aurait manqué son point principal, Armstrong a affirmé qu'une réserve américaine "pourrait être un énorme moteur de l'appréciation des prix [BTC]".

Denelle Dixon, CEO of the Stellar Development Foundation (XLM payment network), claimed crypto is “misunderstood” because “there’s not a lot of focus on the actual utility.” (Possibly because the panelist sitting next to her keeps calling it ‘digital gold,’ but whatever.)

Denelle Dixon, PDG de la Stellar Development Foundation (réseau de paiement XLM), a affirmé que la cryptographie était « mal comprise » car « on ne se concentre pas beaucoup sur l'utilité réelle ». (Peut-être parce que l'intervenant assis à côté d'elle n'arrête pas de l'appeler « l'or numérique », mais peu importe.)

A dissenting voice came from Lesetja Kganyago, governor of the South African Reserve Bank (SARB), who appeared to understand all too well why the crypto casino operators want central bankers like himself to throw their country’s cash on the table and let ‘er ride.

Une voix dissidente est venue de Lesetja Kganyago, gouverneur de la Banque de réserve sud-africaine (SARB), qui semble très bien comprendre pourquoi les opérateurs de casinos cryptographiques veulent que les banquiers centraux comme lui jettent l'argent de leur pays sur la table et les laissent rouler.

Kganyago said he’d have “a significant problem with a lobby that says governments should hold this asset or hold that asset. There is a history to gold. There was once a gold standard … If we now say okay, [BTC]. What about platinum? What about coal? Why don’t we hold strategic beef reserves, or mutton reserves, or apple reserves? Why [BTC]?”

Kganyago a déclaré qu'il aurait « un problème important avec un lobby qui dit que les gouvernements devraient détenir tel actif ou tel actif ». Il y a une histoire avec l’or. Il y avait autrefois un étalon-or… Si nous disons maintenant d'accord, [BTC]. Et le platine ? Et le charbon ? Pourquoi ne détenons-nous pas des réserves stratégiques de bœuf, de mouton ou de pommes ? Pourquoi [BTC] ?

Kganyago took issue with the crypto sector’s nine-figure campaign contributions during the recent U.S. election and the sector’s pledge to keep the cash flowing to favored candidates in the дерал 2026 mid-terms. This was the definition of “regulatory capture,” and “if regulation is going to be established through the power of money, then we have a problem.”

Kganyago a contesté les contributions à neuf chiffres du secteur de la cryptographie lors de la récente élection américaine et l'engagement du secteur à maintenir les flux de trésorerie vers les candidats favoris à la mi-mandat de 2026. C’était la définition de la « captation de la réglementation » et « si la réglementation doit être établie par le pouvoir de l’argent, alors nous avons un problème ».

Kganyago warned that if any industry is allowed to buy regulations that essentially let that industry run wild, “then we seem to have forgotten how far we got with the great financial crisis” of 2008 that is credited with spurring the launch of Bitcoin the following year.

Kganyago a averti que si une industrie est autorisée à adopter des réglementations qui laissent essentiellement cette industrie se déchaîner, "alors nous semblons avoir oublié jusqu'où nous sommes allés avec la grande crise financière" de 2008, qui aurait stimulé le lancement du Bitcoin l'année suivante. .

Taking up this point was Jennifer Johnson, president/CEO of asset managers Franklin Templeton, who reminded the panel that “much of the [financial] regulation we have today was created after the Great Depression, with the goal of protecting consumers.” Johnson said regulations need updating as technology progresses but cautioned that “we need to remember what the rules were created for.”

Jennifer Johnson, présidente-directrice générale des gestionnaires d'actifs Franklin Templeton, a repris ce point en rappelant au panel qu'« une grande partie de la réglementation [financière] que nous avons aujourd'hui a été créée après la Grande Dépression, dans le but de protéger les consommateurs ». Johnson a déclaré que les réglementations doivent être mises à jour à mesure que la technologie progresse, mais a averti que « nous devons nous rappeler pourquoi les règles ont été créées ».

Kganyago also warned that if money could buy favorable crypto regulations, it could also buy regulations that ban it. “It will happen that another group that wants to end cryptocurrencies will do the same. And I don’t think that’s how regulations should evolve.”

Kganyago a également averti que si l’argent pouvait acheter des réglementations favorables en matière de cryptographie, il pourrait également acheter des réglementations qui l’interdisent. « Il arrivera qu’un autre groupe qui souhaite mettre fin aux crypto-monnaies fasse de même. Et je ne pense pas que ce soit ainsi que la réglementation devrait évoluer.

Kganyago acknowledged that regulators are often slow to react to new technologies and that nobody benefits from unclear regulations. He suggested the U.S. join with the rest of the world in establishing mutually acceptable crypto rules, but noted that “it has already happened many times that the US has chosen not to participate in what is said at a global level.”

Kganyago a reconnu que les régulateurs sont souvent lents à réagir aux nouvelles technologies et que personne ne profite de réglementations floues. Il a suggéré que les États-Unis se joignent au reste du monde pour établir des règles de cryptographie mutuellement acceptables, mais a noté qu '«il est déjà arrivé à plusieurs reprises que les États-Unis choisissent de ne pas participer à ce qui se dit au niveau mondial».

Armstrong’s D.C. crypto wish list

Liste de souhaits cryptographiques DC d'Armstrong

Speaking to CNBC at Davos, Armstrong dismissed concerns over Trump failing to immediately issue a stockpile/reserve order, saying “it’s been one day. I’m not too worried.” After all, Trump waited until Day Two to honor his campaign pledge to free Ross Ulbricht, founder of the defunct Silk

S'adressant à CNBC à Davos, Armstrong a rejeté les inquiétudes concernant l'incapacité de Trump à émettre immédiatement un ordre de stockage/réserve, affirmant que « cela fait un jour. Je ne suis pas trop inquiet. Après tout, Trump a attendu le deuxième jour pour honorer sa promesse électorale de libérer Ross Ulbricht, fondateur de la défunte Silk.