Peter Schiff, critique de Bitcoin BTC/USD, relance les débats sur la légitimité et qualifie BTC de pièce mème dépourvue de valeur intrinsèque

L'éminent critique de Bitcoin BTC/USD, Peter Schiff, a relancé les débats sur la légitimité du roi de la cryptographie en le qualifiant de pièce mème dénuée de valeur intrinsèque.

Prominent Bitcoin (CRYPTO: BTC) critic Peter Schiff has reignited debates on the crypto king’s legitimacy by labeling it a meme coin.

L'éminent critique de Bitcoin (CRYPTO : BTC) Peter Schiff a relancé les débats sur la légitimité du roi de la crypto en le qualifiant de pièce mème.

Schiff on Tuesday responded to Anthony Pompliano's explanation of meme coins, stating that there's little to distinguish Bitcoin from newer meme assets like TRUMP.

Schiff a répondu mardi à l'explication d'Anthony Pompliano sur les pièces mèmes, déclarant qu'il y a peu de choses qui distinguent Bitcoin des nouveaux actifs mèmes comme TRUMP.

"It's a fine line to walk when explaining a meme coin without exposing the same fraud about Bitcoin," he added. He stated, "Bitcoin is a meme coin."

"C'est une ligne fine à parcourir pour expliquer une pièce de monnaie sans révéler la même fraude à propos du Bitcoin", a-t-il ajouté. Il a déclaré : « Bitcoin est une pièce de monnaie mème ».

Schiff's post sparked debate across Crypto Twitter, with some comparing Bitcoin to gold.

Le message de Schiff a suscité un débat sur Crypto Twitter, certains comparant le Bitcoin à l'or.

Bitcoin podcast host Walker argued, "The meme is perfected sound money that is superior to gold" and claimed Bitcoin is gradually demonetizing gold.

L'animateur du podcast Bitcoin, Walker, a soutenu : « Le mème est une monnaie saine et perfectionnée, supérieure à l'or » et a affirmé que Bitcoin démonétise progressivement l'or.

CryptoQuant CEO Ki Young Ju took it further, calling gold a "meme asset," with 90% of its valuation stemming from narrative belief.

Ki Young Ju, PDG de CryptoQuant, est allé plus loin en qualifiant l'or d'« actif mème », dont 90 % de sa valorisation provient d'une croyance narrative.

He concluded, "Goldbugs are no different from Bitcoin maxis."

Il a conclu : « Les Goldbugs ne sont pas différents des maxis Bitcoin. »

Schiff dismissed the comparisons, reiterating that gold's value is rooted in tangible properties, unlike Bitcoin, which he called “fool’s gold.”

Schiff a rejeté les comparaisons, réitérant que la valeur de l'or est ancrée dans des propriétés tangibles, contrairement au Bitcoin, qu'il a qualifié d'« or des fous ».

Schiff's detractors reminded him of past predictions, including his claim that Bitcoin would never reach $100,000, and asked what he would say if it hit $1 million.

Les détracteurs de Schiff lui ont rappelé ses prédictions passées, notamment son affirmation selon laquelle Bitcoin n'atteindrait jamais 100 000 dollars, et lui ont demandé ce qu'il dirait s'il atteignait 1 million de dollars.

One trader quipped, "Peter Schiff wouldn't exist without Bitcoin," to which Schiff retorted that he was well-known before Bitcoin.

Un commerçant a plaisanté : « Peter Schiff n'existerait pas sans Bitcoin », ce à quoi Schiff a rétorqué qu'il était bien connu avant Bitcoin.

Schiff has consistently expressed concern over what he perceives as a speculative mania surrounding cryptocurrencies, warning it could harm the principles of sound money.

Schiff a toujours exprimé son inquiétude face à ce qu'il perçoit comme une manie spéculative autour des crypto-monnaies, avertissant que cela pourrait nuire aux principes d'une monnaie saine.

While he insists he doesn't hate Bitcoin, he cautioned that millions might lose more than they can afford.

Tout en insistant sur le fait qu'il ne déteste pas Bitcoin, il a averti que des millions de personnes pourraient perdre plus que ce qu'elles peuvent se permettre.

In December 2024, Schiff argued Bitcoin could become a "public enemy" if the government squandered taxpayer money on it, describing it as the riskiest asset.

En décembre 2024, Schiff a fait valoir que Bitcoin pourrait devenir un « ennemi public » si le gouvernement dilapidait l’argent des contribuables, le décrivant comme l’actif le plus risqué.