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Trategy: la norme Bitcoin

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Saylor’s goal is to get the world’s largest companies to follow MicroStrategy’s lead and put at least a portion of their cash into bitcoin. “If Berkshire puts 1% of its cash into bitcoin, that’s $3.2 billion. At today’s prices, that’s 30,000 bitcoin,” he says. “If 100 companies did that, you’re talking about a million bitcoin being purchased by corporations in a single year.”

L'objectif de Saylor est d'amener les plus grandes entreprises au monde à suivre l'avance de MicroStrategy et à mettre au moins une partie de leur argent dans Bitcoin. «Si Berkshire met 1% de son argent dans Bitcoin, cela représente 3,2 milliards de dollars. Aux prix d'aujourd'hui, c'est 30 000 Bitcoin », dit-il. "Si 100 entreprises l'ont fait, vous parlez d'un million de Bitcoin achetés par des sociétés en une seule année."

output: MicroStrategy is a publicly traded company that has made headlines for its unique financial strategy, which involves holding a large amount of bitcoin on its balance sheet. The company’s stock price has soared in recent years as bitcoin’s price has risen, leading some to question whether MicroStrategy is a good investment or simply a risky bet on bitcoin.

Production: MicroStrategy est une société cotée en bourse qui a fait la une des journaux pour sa stratégie financière unique, qui implique de détenir une grande quantité de bitcoin sur son bilan. Le cours des actions de la société a grimpé en grippe ces dernières années alors que le prix de Bitcoin a augmenté, ce qui a conduit certains à se demander si la micro-stategy est un bon investissement ou simplement un pari risqué sur Bitcoin.

To understand MicroStrategy’s financial strategy, it’s helpful to take a closer look at the company’s history and the man behind it, Michael Saylor. Saylor, 59, cofounded MicroStrategy in 1989 fresh out of MIT, where he studied aeronautics and astronautics before graduating with highest honors and earning a commission as a second lieutenant in the Air Force. (His dream of becoming a fighter pilot was thwarted by a heart murmur that turned out to be a misdiagnosis.)

Pour comprendre la stratégie financière de MicroStrategy, il est utile d'examiner de plus près l'histoire de l'entreprise et l'homme derrière lui, Michael Saylor. Saylor, 59 ans, a cofondé MicroStrategy en 1989 Fresh Out of MIT, où il a étudié l'aéronautique et l'astronautique avant d'obtenir son diplôme avec les honneurs les plus élevés et de gagner une commission en tant que sous-lieutenant dans l'Air Force. (Son rêve de devenir pilote de chasse a été contrecarré par un murmure cardiaque qui s'est avéré être un diagnostic erroné.)

After graduating from the Air Force Academy in Colorado Springs, Saylor worked briefly at Bain & Company before launching MicroStrategy with his MIT fraternity brother, Sanju Bansal. The company, which initially focused on data analytics, went public in 1998, and by 2000, its market cap soared past $24 billion. Riding high on the dot-com wave, Saylor became a tech evangelist, heralding a world in which data would flow “like water.”

Après avoir obtenu son diplôme de l'Air Force Academy de Colorado Springs, Saylor a travaillé brièvement chez Bain & Company avant de lancer MicroStrategy avec son frère de fraternité du MIT, Sanju Bansal. La société, qui s'est initialement concentrée sur l'analyse des données, est devenue publique en 1998 et, en 2000, sa capitalisation boursière a grimpé au-delà de 24 milliards de dollars. En haut sur la vague de points-com, Saylor est devenu un évangéliste technologique, annonçant un monde dans lequel les données couleraient «comme l'eau».

“We’re going to use our technology to obliterate entire supply chains,” Saylor told Forbes in late 1998. “We’re playing for all the marbles to essentially win the entire industry worldwide, forever.”

"Nous allons utiliser notre technologie pour effacer des chaînes d'approvisionnement entières", a déclaré Saylor à Forbes fin 1998. "Nous jouons pour que tous les billes gagnent essentiellement toute l'industrie du monde entier, pour toujours."

But then came the crash. On March 10, 2000, MicroStrategy’s stock hit a peak of $313 per share—more than 60 times its IPO price. Within two weeks it plummeted to $72, following the company’s announcement that it would need to restate its financial results. The SEC later accused Saylor and others of accounting fraud, charges that MicroStrategy settled for $11 million. Within two years its stock price had fallen below $1. Saylor’s $13 billion fortune evaporated.

Mais ensuite est venu le crash. Le 10 mars 2000, les actions de MicroStrategy ont atteint un pic de 313 $ par action - plus de 60 fois son prix d'introduction en bourse. En deux semaines, il a chuté à 72 $, à la suite de l'annonce de la société qu'elle devrait reformuler ses résultats financiers. La SEC a accusé plus tard Saylor et d'autres de fraude comptabilité, accusait que la microstratégie se soit contentée de 11 millions de dollars. En deux ans, son cours de bourse était tombé en dessous de 1 $. La fortune de 13 milliards de dollars de Saylor s'est évaporée.

“It was the darkest part of my life,” he says. “When people lose money because they believe in you, that’s pretty much the worst.”

«C'était la partie la plus sombre de ma vie», dit-il. "Quand les gens perdent de l'argent parce qu'ils croient en vous, c'est à peu près le pire."

Undeterred, Saylor remained at the helm of MicroStrategy, which continued to operate a successful data analytics business throughout the 2000s and 2010s. But it wasn’t until 2020, after the government followed years of quantitative easing with trillions of dollars in Covid-19-related stimulus, that Saylor became convinced that the best use for the remaining $530 million in cash and short-term investments on MicroStrategy’s balance sheet was investing in bitcoin.

Sans se laisser décourager, Saylor est resté à la tête de Microstrategy, qui a continué à gérer une entreprise d'analyse de données réussie dans les années 2000 et 2010. Mais ce n'est qu'en 2020, après que le gouvernement a suivi des années d'assouplissement quantitatif avec des milliards de dollars en stimulus lié à Covid-19, que Saylor est devenu convaincu que la meilleure utilisation pour les 530 millions de dollars restants en espèces et des investissements à court terme sur MicroStrategy's Le bilan investissait dans Bitcoin.

The U.S. government could print as many dollars as it wanted—and it was hard at work doing just that—but, by design, bitcoin comes with a hard cap: There will never be more than 21 million in existence.

Le gouvernement américain pourrait imprimer autant de dollars qu'il le voulait - et il a été dur pour faire exactement cela - mais, par conception, le bitcoin est livré avec un plafond dur: il n'y aura jamais plus de 21 millions de choses.

“I invented 20 things, tried to make them successful and really didn’t change the world with any of them,” Saylor says. “Satoshi created one thing, gave it to the world and disappeared. It’s made me more successful than every one of my ideas.”

«J'ai inventé 20 choses, j'ai essayé de les faire réussir et je n'ai vraiment pas changé le monde avec aucun d'entre eux», a déclaré Saylor. «Satoshi a créé une chose, l'a donné au monde et a disparu. Cela m'a fait plus de succès que chacune de mes idées.

Saylor’s enthusiasm for bitcoin is evident in everything he does. At Villa Vecchia, a century-old Miami Beach estate that once welcomed luminaries including Margaret Thatcher, Henry Kissinger and Mikhail Gorbachev, Saylor hosts lavish New Year’s Eve parties attended by bitcoin’s biggest names. The bash, which takes place on the estate’s manicured lawns and Versailles-inspired ballroom, features servers gliding around with champagne on silver trays, hors d’oeuvres stamped with the omnipresent B and dancers in golden bodysuits undulating with glowing orange orbs in homage to bitcoin’s signature hue.

L'enthousiasme de Saylor pour Bitcoin est évident dans tout ce qu'il fait. À Villa Vecchia, un domaine de Miami Beach, centenaire, qui a autrefois accueilli des sommités, notamment Margaret Thatcher, Henry Kissinger et Mikhail Gorbachev, Saylor accueille des parties somptueuses du Nouvel An assistées par les plus grands noms de Bitcoin. Le bash, qui se déroule sur les pelouses bien entretenues du domaine et la salle de bal inspirée de Versailles, présente des serveurs glissant avec du champagne sur des plateaux en argent, des hors-d'œuvre estampillé avec le B omniprésent B et les danseurs en bodys dorés ondulé avec des orbes orange brillants en hommage à Bitcoin's. Hue signature.

At the center of the garden looms a massive playing card, the king’s face replaced with a brazen B. On the water, the party continues aboard the Usher, a 154-foot superyacht that was featured in the 2015 film Entourage and glistens against the Miami skyline. A constant stream of shuttles disgorges an unending parade of bitcoin executives, influencers and, most importantly, institutional investors, all decked out

Au centre du jardin, une carte à jouer massive, le visage du roi remplacé par un Brazen B. sur l'eau, la fête continue à bord de l'Usher, un superyacht de 154 pieds qui a été présenté dans le film Entourage de 2015 et scintille contre le Miami Skyline. Un flux constant de navettes dégage un défilé sans fin de dirigeants de Bitcoin, d'influenceurs et, surtout, d'investisseurs institutionnels, tous ornés