Nom: Yup'ik Spirit Mask

Ce que c'est: un masque décoré sculpté du bois flotté

Yup'ik spirit masks are decorated masks that were carved from driftwood by the Yup'ik people, who arrived in southwestern Alaska around 800 years ago. These masks, which are now part of the collections of museums in North America and Europe, date to at least the 16th century, and one example in the Peabody Museum at Harvard University dates to 1885.

Les masques Spirit Yup'ik sont des masques décorés qui ont été sculptés dans le bois flotté par le peuple Yup'ik, qui est arrivé dans le sud-ouest de l'Alaska il y a environ 800 ans. Ces masques, qui font maintenant partie des collections de musées en Amérique du Nord et en Europe, datent du XVIe siècle, et un exemple du Peabody Museum de l'Université Harvard date de 1885.

These masks varied dramatically in size and shape, anthropologist Dorothy Jean Ray wrote in her 1967 book "Eskimo Masks: Art and Ceremony," (University of Seattle Press) with some as small as 6 inches (15 centimeters) and others up to 4 feet (1.2 meters) long. They were traditionally carved from spruce driftwood found along the coast, with natural fibers added for movement — undulating feathers of the sea duck, rawhide or baleen for appendages, or human or caribou hair blowing in the wind. Color was added from natural pigments, such as white fingerprint dots created from white clay.

Ces masques variaient considérablement en taille et en forme, a écrit l'anthropologue Dorothy Jean Ray dans son livre de 1967 "Esquimo Masks: Art and Ceremony" (University of Seattle Press) avec certains aussi petits que 6 pouces (15 centimètres) et d'autres jusqu'à 4 pieds (1,2 mètre) de long. Ils étaient traditionnellement sculptés à partir de bois flotté épinette trouvés le long de la côte, avec des fibres naturelles ajoutées pour le mouvement - des plumes ondulées du canard de mer, du cuir brut ou des baleen pour les appendices, ou des cheveux humains ou caribou soufflant dans le vent. Une couleur a été ajoutée à partir de pigments naturels, tels que des points d'empreintes digitales blancs créés à partir d'argile blanche.

The first historic reference to Yup'ik masks was in a Russian traveler's diary written between 1764 and 1766, in which the man described the Yup'ik dancing in the nude while wearing masks.

La première référence historique aux masques Yup'ik était dans le journal du voyageur russe écrit entre 1764 et 1766, dans lequel l'homme a décrit le yup'ik dansant dans le nu tout en portant des masques.

Masks were an essential part of Yup'ik religious practice, and no two were alike. Typically, the Yup'ik shaman would commission a skilled carver to create a mask based on a dream or vision. Villagers then wore these masks during dances and festivals, such as whaling and caribou ceremonies connected to hunting practices.

Les masques étaient un élément essentiel de la pratique religieuse de Yup'ik, et il n'y avait pas deux. En règle générale, le chaman Yup'ik commanderait un sculpteur qualifié pour créer un masque basé sur un rêve ou une vision. Les villageois ont ensuite porté ces masques pendant les danses et les festivals, tels que la chasse à la chasse et les cérémonies de caribou liées aux pratiques de chasse.

Each mask represented a particular spirit and was a part of a larger story woven by the shaman, who was the interpreter of the world's unknown forces. Human-face-like masks were often used to represent other mythological beings; an upturned mouth represented male beings, while a downturned mouth represented female beings.

Chaque masque représentait un esprit particulier et faisait partie d'une histoire plus large tissée par le chaman, qui était l'interprète des forces inconnues du monde. Des masques en forme d'humanité étaient souvent utilisés pour représenter d'autres êtres mythologiques; Une bouche retournée représentait des êtres masculins, tandis qu'une bouche tournée vers le bas représentait des êtres féminins.

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By the late 1700s, Russian priests and missionaries reportedly destroyed as many Yup'ik masks as they could find in their zeal to convert the Indigenous people to Christianity. Some masks survived, only to be collected by American naturalist Edward W. Nelson beginning in 1877 and shipped to museums in North America and Europe.

À la fin des années 1700, les prêtres et missionnaires russes auraient détruit autant de masques Yup'ik qu'ils pouvaient le trouver dans leur zèle pour convertir le peuple autochtone au christianisme. Certains masques ont survécu, pour être collectés par le naturaliste américain Edward W. Nelson à partir de 1877 et expédié dans des musées d'Amérique du Nord et d'Europe.

It is unclear how old the practice of Yup'ik mask making is, as the custom following their use in a ceremony was to dispose of the masks in the tundra or burn them, according to Yup'ik culture bearers. But archaeologists found evidence of masks dating to the 16th century at a prehistoric site in the village of Quinhagak near the Bering Sea.

On ne sait pas quel âge la pratique de la fabrication du masque Yup'ik est, car la coutume qui suit leur utilisation lors d'une cérémonie devait éliminer les masques dans la toundra ou les brûler, selon les porteurs de la culture Yup'ik. Mais les archéologues ont trouvé des preuves de masques datant du XVIe siècle dans un site préhistorique du village de Quinhagak près de la mer de Béring.

Although Yup'ik mask making was demonized by missionaries in the 17th and 18th centuries, the practice is being revitalized today as local community members reclaim their precolonial practices.

Bien que la fabrication du masque Yup'ik ait été diabolisée par des missionnaires aux XVIIe et XVIIIe siècles, la pratique est revitalisée aujourd'hui alors que les membres de la communauté locale reprennent leurs pratiques précoloniales.