Worldcoin (WLD) fait face à une controverse en Équateur alors que les autorités mettent en garde les citoyens contre le projet de cryptographie

Worldcoin (WLD), un projet de cryptographie cofondé par Sam Altman, PDG d'OpenAI, est arrivé en Équateur en juin. En raison de sa popularité croissante, les autorités équatoriennes ont mis en garde leurs citoyens contre ce projet.

Worldcoin (WLD), a crypto project co-founded by OpenAI’s CEO Sam Altman, arrived in Ecuador in June. Due to its growing popularity, Ecuadorian authorities have warned its citizens about the project.

Worldcoin (WLD), un projet de cryptographie cofondé par Sam Altman, PDG d'OpenAI, est arrivé en Équateur en juin. En raison de sa popularité croissante, les autorités équatoriennes ont mis en garde leurs citoyens contre ce projet.

Most recently, Ecuador’s Central Bank (ECB) issued a press release reiterating the country’s stance on cryptocurrencies and reminding users of the risks involving the illegal use of digital assets as a payment method.

Plus récemment, la Banque centrale de l'Équateur (BCE) a publié un communiqué de presse réitérant la position du pays sur les crypto-monnaies et rappelant aux utilisateurs les risques liés à l'utilisation illégale d'actifs numériques comme moyen de paiement.

Worldcoin Faces More Controversy

Worldcoin fait face à davantage de controverses

In June, Worldcoin announced that its World ID verifications would be coming to Ecuador at the end of the month. Starting June 26, the verifications have been available at six locations across Quito and Guayaquil.

En juin, Worldcoin a annoncé que ses vérifications World ID arriveraient en Équateur à la fin du mois. Depuis le 26 juin, les vérifications sont disponibles dans six sites à Quito et Guayaquil.

The project has gained popularity among Ecuadorians in the last month and a half, with hundreds of citizens reportedly queueing daily outside the Worldcoin spots to scan their irises. However, local reports revealed that many users agreed to the verification out of necessity.

Le projet a gagné en popularité parmi les Équatoriens au cours du dernier mois et demi, avec des centaines de citoyens faisant la queue quotidiennement devant les spots Worldcoin pour scanner leur iris. Cependant, des rapports locaux ont révélé que de nombreux utilisateurs ont accepté la vérification par nécessité.

Controversy arose after X reports claimed that many people going through the scanning process were not informed well enough to consent to the verification. An X user stated he saw “over 50 people dress humbly lined up” in Guayaquil.

Une controverse a éclaté après que des rapports X ont affirmé que de nombreuses personnes passant par le processus de numérisation n'étaient pas suffisamment informées pour consentir à la vérification. Un utilisateur de X a déclaré avoir vu « plus de 50 personnes s’habillant humblement alignées » à Guayaquil.

After inquiring about the reasons for the line, the user allegedly received answers like “they must be millionaires” and “sometimes people are crazy.” As reported by Primicias, users receive $30 in WLD after the verification process.

Après avoir demandé les raisons de cette ligne, l'utilisateur aurait reçu des réponses telles que « ils doivent être millionnaires » et « parfois les gens sont fous ». Comme le rapporte Primicias, les utilisateurs reçoivent 30 $ en WLD après le processus de vérification.

“In exchange for the iris scan with an Orb machine, I was given 13 Worldcoin tokens worth $29.59, which I deposited into a digital wallet I created for this purpose,” said a 19-year-old to the local media outlet. Additionally, they can get up to $100 through the referral program.

"En échange du scan de l'iris avec une machine Orb, j'ai reçu 13 jetons Worldcoin d'une valeur de 29,59 $, que j'ai déposés dans un portefeuille numérique que j'ai créé à cet effet", a déclaré un jeune de 19 ans au média local. De plus, ils peuvent obtenir jusqu'à 100 $ grâce au programme de parrainage.

Adding to the controversy, the country’s newly founded Data Protection Superintendency (DPS) denied the claim that Tools For Humanity, the company behind the crypto project, had notified Ecuadorian authorities about the beginning of operations.

Ajoutant à la controverse, la nouvelle Surintendance de la protection des données (DPS) du pays a nié l'affirmation selon laquelle Tools For Humanity, la société à l'origine du projet de cryptographie, avait informé les autorités équatoriennes du début des opérations.

DPS’s Chief Superintendent, Fabrizio Peralta, also stated that the institution hasn’t been able to carry out surveillance tasks due to a lack of personnel and resources.

Le surintendant principal du DPS, Fabrizio Peralta, a également déclaré que l'institution n'était pas en mesure d'effectuer des tâches de surveillance en raison du manque de personnel et de ressources.

Ecuadorian Authorities Reiterate Crypto Stance

Les autorités équatoriennes réitèrent leur position sur la cryptographie

The Superintendence of Companies (SOC) issued a press release last week expressing its concern “about the news circulating in the media and social networks about the irregular activity carried out through an application called Worldcoin.”

La Surintendance des Entreprises (SOC) a publié la semaine dernière un communiqué exprimant son inquiétude « face aux nouvelles qui circulent dans les médias et les réseaux sociaux concernant l'activité irrégulière réalisée à travers une application appelée Worldcoin ».

The SOC warned Ecuadorians the project was not supervised or regulated by the institution. Additionally, it urged them to abstain from giving their biometric information to companies that offer incentives in exchange for said data.

Le SOC a averti les Équatoriens que le projet n'était ni supervisé ni réglementé par l'institution. En outre, il les a exhortés à s'abstenir de communiquer leurs informations biométriques à des entreprises qui offrent des incitations en échange de ces données.

Ecuador’s Central Bank reiterated its stance on crypto in the latest development. The ECB emphasized that cryptocurrencies are not legal tender or an authorized means of payment in South American countries.

La Banque centrale de l'Équateur a réitéré sa position sur la cryptographie lors du dernier développement. La BCE a souligné que les crypto-monnaies n’ont pas cours légal ni ne constituent un moyen de paiement autorisé dans les pays d’Amérique du Sud.

Moreover, it stated that the use of means of payment unauthorized by the Monetary Policy and Regulatory Board (JPRM), “or their total or partial simulation, is expressly prohibited under the provisions of Article 98 of the COMF.”

Par ailleurs, il précise que l'utilisation de moyens de paiement non autorisés par le Conseil de politique et de régulation monétaire (JPRM), "ou leur simulation totale ou partielle, est expressément interdite en vertu des dispositions de l'article 98 du COMF".

As a result, “all transactions, monetary and financial operations, and their accounting records, carried out in the country, shall be expressed in US dollars.” Ultimately, the Bank reminded citizens that actions can be taken for the use of crypto as a payment method:

En conséquence, « toutes les transactions, opérations monétaires et financières, ainsi que leurs registres comptables, effectuées dans le pays, seront exprimées en dollars américains ». Enfin, la Banque a rappelé aux citoyens que des mesures peuvent être prises pour utiliser la crypto comme moyen de paiement :

The ECB, in case it identifies the use of crypto assets as a means of payment, shall bring it to the attention of the State Attorney General’s Office for its corresponding investigation and sanction.

La BCE, si elle identifie l'utilisation d'actifs cryptographiques comme moyen de paiement, la portera à l'attention du bureau du procureur général de l'État pour qu'il mène une enquête et des sanctions correspondantes.