La prétendue revendication de 40 milliards de dollars des Émirats arabes unis sur les avoirs en Bitcoin suscite le scepticisme, soulignant la nécessité de sources crédibles dans les rapports cryptographiques

Bien que la rumeur elle-même ne soit pas confirmée, le leadership des Émirats arabes unis dans la promotion d'un environnement favorable à la cryptographie est bien documenté.

Changpeng ‘CZ’ Zhao, the CEO of Binance, has inadvertently reignited a dormant rumor regarding the United Arab Emirates (UAE) holding a substantial amount of Bitcoin (BTC).

Changpeng « CZ » Zhao, le PDG de Binance, a relancé par inadvertance une rumeur latente selon laquelle les Émirats arabes unis (EAU) détenaient une quantité substantielle de Bitcoin (BTC).

In a recent post on X, CZ shared a link to an article claiming that the UAE holds $40 billion in Bitcoin, sparking a wave of speculation and skepticism within the crypto community. The link, posted on December 21st, leads to an online piece that heralds the UAE's alleged milestone in cryptocurrency investment. The article attributes the claim to both government and private investments, suggesting that initiatives like the Dubai Multi Commodities Centre's Crypto Centre play a pivotal role in bolstering the country's digital asset reserves.

Dans un article récent sur X, CZ a partagé un lien vers un article affirmant que les Émirats arabes unis détenaient 40 milliards de dollars en Bitcoin, déclenchant une vague de spéculation et de scepticisme au sein de la communauté crypto. Le lien, publié le 21 décembre, mène à un article en ligne qui annonce le prétendu jalon des Émirats arabes unis en matière d'investissement en crypto-monnaie. L'article attribue cette affirmation aux investissements gouvernementaux et privés, suggérant que des initiatives telles que le Crypto Center du Dubai Multi Commodities Centre jouent un rôle central dans le renforcement des réserves d'actifs numériques du pays.

According to the article, the UAE's sovereign wealth funds have channeled billions of dollars into crypto startups and ventures, contributing to the country's burgeoning status as a blockchain hub. The article also highlights the presence of several cryptocurrency exchanges and hedge funds in Dubai, which have reportedly aided in amassing the country's vast Bitcoin holdings.

Selon l'article, les fonds souverains des Émirats arabes unis ont canalisé des milliards de dollars vers des startups et des entreprises de cryptographie, contribuant ainsi au statut naissant du pays en tant que plaque tournante de la blockchain. L'article souligne également la présence de plusieurs bourses de crypto-monnaie et de fonds spéculatifs à Dubaï, qui auraient contribué à rassembler les vastes avoirs en Bitcoin du pays.

However, the article does not specify the sources of the $40 billion figure or provide any direct statements from Emirati officials regarding the country's BTC reserves.

Cependant, l'article ne précise pas les sources du chiffre de 40 milliards de dollars ni ne fournit de déclarations directes de responsables émiratis concernant les réserves de BTC du pays.

After CZ's post, several crypto lawyers and industry participants quickly challenged the article's credibility, pointing out its lack of concrete evidence and suggesting it might be AI-generated content. Changpeng Zhao himself acknowledged the uncertainty in a follow-up, saying, “I also wondered how they came up with the exact number; it’s challenging to collect.” He added that while $40 billion "surpassed [his] expectations," the figure was not entirely implausible, given the large number of high-net-worth individuals in the region.

Après le message de CZ, plusieurs avocats spécialisés en cryptographie et acteurs du secteur ont rapidement contesté la crédibilité de l'article, soulignant son manque de preuves concrètes et suggérant qu'il pourrait s'agir d'un contenu généré par l'IA. Changpeng Zhao lui-même a reconnu l'incertitude dans un suivi, en disant : « Je me demandais aussi comment ils étaient arrivés à ce chiffre exact ; c'est difficile à collecter. Il a ajouté que même si 40 milliards de dollars « dépassaient [ses] attentes », ce chiffre n’était pas totalement invraisemblable, étant donné le grand nombre de particuliers fortunés dans la région.

An X user replied to CZ's post, calling him a key “architect” of Dubai's fast-growing crypto scene. CZ responded that he had done “a lot of shilling” for the industry in the UAE, but “didn't know the number was so big or how much of that could be attributed to [his] efforts.” He added that there were only a handful of crypto companies in Dubai in 2021, but the number quickly swelled to hundreds and later thousands, signaling the emirate's ambition to become a major blockchain hub.

Un utilisateur de X a répondu au message de CZ, le qualifiant d'« architecte » clé de la scène cryptographique en pleine croissance de Dubaï. CZ a répondu qu'il avait fait « beaucoup d'argent » pour l'industrie aux Émirats arabes unis, mais « ne savait pas que ce chiffre était si important ni dans quelle mesure cela pouvait être attribué à [ses] efforts ». Il a ajouté qu'il n'y avait qu'une poignée de sociétés de cryptographie à Dubaï en 2021, mais que leur nombre a rapidement atteint des centaines, puis des milliers, signalant l'ambition de l'émirat de devenir une plaque tournante majeure de la blockchain.

Despite CZ's measured openness to the possibility, skepticism has proliferated. A widely followed social media account known as “Bitcoin Archive” dismissed the claims as “fake news,” warning that no verified sources had confirmed the $40 billion figure.

Malgré l’ouverture mesurée de CZ à cette possibilité, le scepticisme a proliféré. Un compte de réseau social largement suivi connu sous le nom de « Bitcoin Archive » a rejeté ces affirmations comme étant des « fausses nouvelles », avertissant qu’aucune source vérifiée n’avait confirmé le chiffre de 40 milliards de dollars.

“I wouldn’t usually comment on rumors, but people are stating the UAE's $40B Bitcoin purchase as a FACT. From all the publicly available information, this has not been confirmed. It is just a rumor started on X and now has been taken as fact,” the account stated.

«Je ne commenterais généralement pas les rumeurs, mais les gens considèrent l'achat de Bitcoin par les Émirats arabes unis pour 40 milliards de dollars comme un FAIT. D’après toutes les informations accessibles au public, cela n’a pas été confirmé. Ce n’est qu’une rumeur lancée sur X et qui a maintenant été considérée comme un fait », indique le compte.

Other posts from Bitcoin Archive criticized the recycling of the same uncorroborated details across various crypto-themed websites, calling them “garbage AI-generated crypto sites” that cite each other without providing verifiable evidence or official statements.

D’autres articles de Bitcoin Archive ont critiqué le recyclage des mêmes détails non corroborés sur divers sites Web sur le thème de la cryptographie, les qualifiant de « sites de cryptographie inutiles générés par l’IA » qui se citent sans fournir de preuves vérifiables ni de déclarations officielles.

In a similar vein, crypto influencer Lark Davis tweeted that “Rumors are circulating that the UAE has purchased 300,000 Bitcoin,” but offered no direct proof and merely suggested that if the rumor were accurate, it could spur significant bullish sentiment for the world's largest cryptocurrency.

Dans la même veine, l'influenceur crypto Lark Davis a tweeté que « des rumeurs circulent selon lesquelles les Émirats arabes unis auraient acheté 300 000 Bitcoins », mais n'a fourni aucune preuve directe et a simplement suggéré que si la rumeur était exacte, elle pourrait susciter un sentiment haussier important pour la plus grande crypto-monnaie du monde. .

Another article on cryptocurrency news site “Bitcoinist” repeated the $40 billion figure, but also provided no additional evidence or government confirmation. Critics took issue with the lack of official data and the speculative nature of these reports, highlighting the need for credible sources when discussing national or sovereign investment in digital assets.

Un autre article sur le site d’information sur les crypto-monnaies « Bitcoinist » a répété le chiffre de 40 milliards de dollars, mais n’a fourni aucune preuve supplémentaire ni confirmation du gouvernement. Les critiques ont contesté le manque de données officielles et la nature spéculative de ces rapports, soulignant la nécessité de sources crédibles lorsqu’on discute d’investissements nationaux ou souverains dans les actifs numériques.

While the rumor itself remains unconfirmed, the UAE's leadership in fostering a crypto-friendly environment is well documented. Officials have launched regulatory frameworks to attract blockchain startups, and the Dubai Multi Commodities Centre's Crypto Center has served as a catalyst, supporting numerous entrepreneurs and global cryptocurrency ventures.

Bien que la rumeur elle-même ne soit pas confirmée, le leadership des Émirats arabes unis dans la promotion d'un environnement favorable à la cryptographie est bien documenté. Les autorités ont lancé des cadres réglementaires pour attirer les startups blockchain, et le Crypto Center du Dubai Multi Commodities Centre a servi de catalyseur, soutenant de nombreux entrepreneurs et entreprises mondiales de crypto-monnaie.

Observers note that this proactive posture has helped the UAE earn a reputation as a potential global cryptocurrency hub. However, to date, no Emirati authority has provided substantiated figures on any national Bitcoin holdings.

Les observateurs notent que cette attitude proactive a aidé les Émirats arabes unis à se forger une réputation de centre potentiel mondial de crypto-monnaie. Cependant, à ce jour, aucune autorité émiratie n’a fourni de chiffres étayés sur les avoirs nationaux en Bitcoin.

At press time, no government agency or UAE-based financial institution had corroborated the $40 billion figure. Numerous stakeholders in the cryptocurrency community have emphasized the importance of verifying such claims before treating them as established facts.

Au moment de mettre sous presse, aucune agence gouvernementale ni institution financière basée aux Émirats arabes unis n’avait corroboré le chiffre de 40 milliards de dollars. De nombreux acteurs de la communauté des cryptomonnaies ont souligné l’importance de vérifier ces affirmations avant de les traiter comme des faits établis.