L'homme sud-africain a été libéré sous caution dans un cas de financement terroriste de Bitcoin

Les autorités enquêtent sur des transactions de crypto-monnaie présumées liées aux activités extrémistes.

A South African man accused of financing terrorism with Bitcoin has been granted bail. Ziyadh Hoorzook is accused of paying R11,500 in Bitcoin to support members of the Islamic State in Syria.

Un homme sud-africain accusé de financer le terrorisme avec le bitcoin a obtenu une caution. Ziyadh Hoorzook est accusé d'avoir payé 11 500 R à Bitcoin pour soutenir les membres de l'État islamique en Syrie.

The Lichtenburg Magistrates Court set bail at R30,000 on Monday after the prosecution failed to show sufficient grounds for keeping Hoorzook in custody.

Le tribunal de première instance de Lichtenburg a fixé une caution à 30 000 R lundi après que l'accusation n'a pas montré de motifs suffisants pour garder Hoorzook en détention.

According to Hawks spokesperson Colonel Philani Nkwalase, authorities began investigating Hoorzook as part of a broader probe into cryptocurrency payments linked to terrorism, which began in May 2018.

Selon le porte-parole des Hawks, le colonel Philani Nkwalase, les autorités ont commencé à enquêter sur Hoorzook dans le cadre d'une enquête plus large sur les paiements de crypto-monnaie liés au terrorisme, qui a commencé en mai 2018.

Nkwalase said the Financial Intelligence Centre (FIC) picked up suspicious transactions that could be linked to financing terrorism activities.

Nkwalase a déclaré que le Financial Intelligence Center (FIC) avait acquis des transactions suspectes qui pourraient être liées au financement des activités de terrorisme.

“On 30 November 2017, Hoorzook transacted funds in Bitcoin using the Luno Virtual Asset Service Provider. Those funds were sent from Hoorzook’s bank account to an account belonging to Luno, and those Bitcoin were used to fund an organisation that owned the wallet,” Nkwalase said.

«Le 30 novembre 2017, Hoorzook a traité des fonds à Bitcoin à l'aide du fournisseur de services d'actifs virtuels Luno. Ces fonds ont été envoyés du compte bancaire de Hoorzook à un compte appartenant à Luno, et ces Bitcoin ont été utilisés pour financer une organisation propriétaire du portefeuille », a déclaré Nkwalase.

Hoorzook allegedly used Bitcoin to pay members of the Islamic State in Syria (File photo).

Hoorzook aurait utilisé Bitcoin pour payer les membres de l'État islamique en Syrie (photo de fichier).

Forensic evidence links Bitcoin transactions to terror financing

Les preuves médico-légales relie les transactions Bitcoin au financement du terrorisme

Hoorzook, who is out on bail, has maintained that the al-Sadaqah group appeared to be a legitimate charity. He testified that an Islamic figure introduced him to the organisation, recommending it for providing relief in the Syrian conflict.

Hoorzook, qui est sous caution, a soutenu que le groupe al-Sadaqah semblait être un organisme de bienfaisance légitime. Il a témoigné qu'un chiffre islamique l'a présenté à l'organisation, le recommandant pour soulager le conflit syrien.

However, al-Sadaqah was later designated a terrorist-linked group, a fact that Hoorzook said he was not aware of at the time.

Cependant, Al-Sadaqah a ensuite été désigné un groupe lié à un terroriste, un fait que Hoorzook a dit qu'il n'était pas au courant à l'époque.

Warrant Officer John Sithole, who led the investigation, disputed Hoorzook’s claims, arguing that the prosecution had compelling evidence against him.

L'adjudant John Sithole, qui a dirigé l'enquête, a contesté les allégations de Hoorzook, faisant valoir que l'accusation avait des preuves impérieuses contre lui.

“A forensic examination of Hoorzook’s electronic devices revealed a substantial amount of material linked to extremism,” Sithole said.

"Un examen médico-légal des appareils électroniques de Hoorzook a révélé une quantité substantielle de matériel lié à l'extrémisme", a déclaré Sithole.

During the investigation, law enforcement officials found violent media files and recordings of Osama bin Laden on Hoorzook’s devices.

Au cours de l'enquête, les responsables de l'application des lois ont trouvé des dossiers médiatiques violents et des enregistrements d'Oussama Ben Laden sur les appareils de Hoorzook.

Sithole added that three al-Sadaqah advertisements were also found on Hoorzook’s devices, which explicitly stated that the organisation did not operate as a charity.

Sithole a ajouté que trois publicités al-Sadaqah ont également été trouvées sur les appareils de Hoorzook, qui ont explicitement déclaré que l'organisation ne fonctionnait pas comme un organisme de bienfaisance.

“This evidence, according to the Hawks, shows that Hoorzook must have known that the funds he was paying would be used for terrorism activities,” Nkwalase said.

"Cette preuve, selon les Hawks, montre que Hoorzook doit avoir su que les fonds qu'il payaient seraient utilisés pour des activités de terrorisme", a déclaré Nkwalase.

The investigation is ongoing, with authorities gathering more information. The legal decision will hinge on whether Hoorzook had knowledge of the group’s activities and his intentions when providing funds for their operations.

L'enquête est en cours, les autorités recueillant plus d'informations. La décision juridique dépendra de la connaissance des activités du groupe et de ses intentions lors de la fourniture de fonds pour leurs opérations.

This case is being closely monitored by law enforcement and financial regulatory bodies in South Africa.

Cette affaire est étroitement surveillée par les forces de l'ordre et les organismes de réglementation financière en Afrique du Sud.