Deux mois après le deuxième mandat de Donald Trump, les dirigeants conservateurs de l'industrie technologique - dont certains conseillent l'administration - sont dans un état de troubles

Ils sont hérissés par la façon dont la gouvernance chaotique du président, inhabituelle, même selon les normes de Trump 1.0, rend de plus en plus difficile la gestion de leurs entreprises.

Two months into Donald Trump's second term, conservative leaders in the tech industry — some of whom are advising the administration — are in a state of turmoil. They are bristling at how the president's chaotic governing, unusual even by the standards of Trump 1.0, is making it increasingly difficult to run their companies.

Deux mois après le deuxième mandat de Donald Trump, les dirigeants conservateurs de l'industrie technologique - dont certains conseillent l'administration - sont dans un état de troubles. Ils sont hérissés par la façon dont la gouvernance chaotique du président, inhabituelle, même selon les normes de Trump 1.0, rend de plus en plus difficile la gestion de leurs entreprises.

"None of my friends who voted for Trump are happy right now. Everyone is annoyed," says Reggie James, the founder of Eternal, a new-media company backed by Andreessen Horowitz. "When tech people got involved in the government, they thought Trump was going to take more of a surgical approach and act less like a wrecking ball."

"Aucun de mes amis qui n'a voté pour Trump n'est heureux en ce moment. Tout le monde est ennuyé", explique Reggie James, la fondatrice d'Eternal, une entreprise de nouvelles médias soutenue par Andreessen Horowitz. "Lorsque les techniciens se sont impliqués dans le gouvernement, ils pensaient que Trump allait adopter une approche chirurgicale et agir moins comme une balle de démolition."

Several Silicon Valley executives I spoke to — some of whom requested anonymity for fear of retribution — echoed this sense of disappointment, in particular at the havoc the Department of Government Efficiency has wreaked throughout the federal government. "We were all on board for a more business-friendly presidency, but in the end, the whole industry of crypto and AI got rug pulled," says the partner of a top-tier venture firm directly involved in the Trump administration. "The people surrounding Trump are all scamsters. They are getting rich off our votes, our dollars, and our time."

Plusieurs dirigeants de la Silicon Valley à qui j'ai parlé - dont certains ont demandé l'anonymat par crainte de représailles - ont fait écho à ce sentiment de déception, en particulier au Ravoc que le ministère de l'efficacité du gouvernement a vécu dans tout le gouvernement fédéral. "Nous étions tous à bord pour une présidence plus adaptée aux entreprises, mais en fin de compte, toute l'industrie de la crypto et de l'IA a fait tirer le tapis", explique le partenaire d'une entreprise de capital-risque de haut niveau, directement impliquée dans l'administration Trump. "Les gens qui entourent Trump sont tous des escrocs. Ils s'enrichissent de nos votes, de nos dollars et de notre temps."

While the tech industry at large remains relatively liberal, especially among rank-and-file employees, many influential players warmed to Trump in recent years. They include high-profile venture capital firms like Andreessen Horowitz and Peter Thiel's Founders Fund, the hosts of the popular tech podcast "All-In," as well as billionaire CEOs like Mark Zuckerberg and Jeff Bezos, who donated to and had prime seating at Trump's second inauguration. But in recent weeks — amid herky-jerky tariffs, mass government layoffs, and a shaky stock market — some influential pro-Trump players are growing impatient and disenchanted.

Alors que l'industrie technologique dans son ensemble reste relativement libéral, en particulier chez les employés de base, de nombreux acteurs influents se sont réchauffés à Trump ces dernières années. Ils comprennent des sociétés de capital-risque de haut niveau comme Andreessen Horowitz et le fonds fondateur de Peter Thiel, les hôtes du podcast technologique populaire "All-In", ainsi que des PDG milliardaires comme Mark Zuckerberg et Jeff Bezos, qui ont fait un don et ont fait des sièges privilégiés lors de la deuxième inauguration de Trump. Mais ces dernières semaines - au milieu des tarifs de Herky-Jerky, des licenciements du gouvernement de masse et un marché boursier tremblant - certains acteurs pro-Trump influents sont impatients et désenchantés.

The consternation is especially pitched among startup founders, many of whom are bracing for an economic downturn. "There is a lot of uncertainty right now, and it makes people nervous," says Sara Mauskopf, the founder of the venture-backed childcare marketplace provider Winnie. Many founders, she says, are deeply worried over whether "they're going to be able to raise funding."

La consternation est particulièrement présentée parmi les fondateurs des startups, dont beaucoup se préparent à un ralentissement économique. "Il y a beaucoup d'incertitude en ce moment, et cela rend les gens nerveux", explique Sara Mauskopf, la fondatrice du fournisseur de gardes de garde d'enfants soutenu par l'entreprise Winnie. Beaucoup de fondateurs, dit-elle, sont profondément inquiets quant à savoir si "ils vont pouvoir collecter des fonds".

Others are exasperated with what they see as unscrupulous dealings with cryptocurrencies. The tech industry itself has a fraught relationship with crypto: Investors were burned by Sam Bankman-Fried's fraudulent FTX, and many tech leaders regard cryptocurrencies as Ponzi schemes with little functional value that stain the tech industry at large. Where the Biden administration took a hard-line approach to crypto, Trump has enthusiastically embraced the crypto community. Days before he was inaugurated, he launched $Trump coin, a memecoin that reached a market cap of $14.5 billion before immediately plunging in value; today, it hovers at $2 billion.

D'autres sont exaspérés par ce qu'ils considèrent comme des relations sans scrupules avec des crypto-monnaies. L'industrie technologique elle-même a une relation difficile avec la crypto: les investisseurs ont été brûlés par la FTX frauduleuse de Sam Bankman, et de nombreux leaders de la technologie considèrent les crypto-monnaies comme des régimes de Ponzi avec peu de valeur fonctionnelle qui tacher l'industrie technologique dans son ensemble. Lorsque l'administration Biden a adopté une approche dure à la crypto, Trump a adopté avec enthousiasme la communauté cryptographique. Quelques jours avant son inauguration, il a lancé $ Trump Coin, un Memecoin qui a atteint une capitalisation boursière de 14,5 milliards de dollars avant de plonger immédiatement en valeur; Aujourd'hui, il oscille à 2 milliards de dollars.

As president, Trump has appointed the venture capitalist and "All-In" cohost David Sacks as the country's "crypto czar," hosted a Crypto Summit at the White House, pardoned the Silk Road founder and crypto folk hero Ross Ulbricht from serving double life sentences, and signed an executive order establishing a strategic bitcoin reserve and US digital asset stockpile.

En tant que président, Trump a nommé le capital-risqueur et le cohost de "tout-in" David Sacks alors que le "crypto-tsar" du pays, a organisé un sommet crypto à la Maison Blanche, a pardonné le fondateur de Silk Road et un ordre folk crypto Ross Ulbricht et les phrases numériques de la vie numérique et a signé un ordre exécutif.

On X, the Palantir cofounder and vocal Trump supporter Joe Lonsdale compared creating a digital currency reserve with taxpayer dollars to theft: "It's wrong to steal my money for grift on the left; it's also wrong to tax me for crypto bro schemes." Lonsdale tells me over email that he objects to the administration naming individual coins in "a way that moved markets and meant people could trade them ahead of time." The executive branch, he said, shouldn't be in the business of "picking winners and losers."

Sur X, le cofondateur de Palantir et le partisan de Vocal Trump, Joe Lonsdale, ont comparé la création d'une réserve de devises numériques avec des dollars des contribuables au vol: "Il est mal de voler mon argent pour le gras à gauche; il est également faux de m'imposer pour les schémas Bro Crypto." Lonsdale me dit par e-mail qu'il s'oppose à l'administration nommant des pièces individuelles d'une manière qui a ému les marchés et signifiait que les gens pouvaient les échanger à l'avance ". Le pouvoir exécutif, a-t-il dit, ne devrait pas être en train de "choisir des gagnants et des perdants".

"The crypto stuff smells weird," says a venture capitalist who is a major backer of conservative news networks. "Both AI and crypto are fields that require a specialized, technical skill set, and just because David Sacks is a podcaster doesn't mean he's qualified in AI or crypto."

"Les trucs cryptographiques sentent bizarres", explique un capital-risqueur qui est un majeur de réseaux de nouvelles conservateurs. "L'IA et la crypto sont des champs qui nécessitent un ensemble de compétences techniques spécialisés, et ce n'est pas parce que David Sacks est un podcaster qu'il est qualifié en IA ou en crypto."

That same venture capitalist who is advising the Trump administration also claims that crypto founders are using their proximity to Trump for personal gain. Steve Witkoff, for instance, a longtime Trump associate who was appointed as the United States special envoy to the Middle East, has been cashing in on his proximity to Trump to secure private deals, this person says. Witkoff's son, Zach Witkoff, is the cofounder of World Liberty Financial, the crypto banking platform that launched Trump's memecoin. Early in March, Steve Witkoff sent cryptocurrency advocates to the Middle East to promote World Liberty Financial's latest stablecoin project, The Wall Street Journal reported. "Steve Witkoff is calling every sovereign government and saying, 'You need to support this coin if you want to be in good standing with Trump,'" the person says.

Ce même capital-risqueur qui conseille l'administration Trump affirme également que les fondateurs de Crypto utilisent leur proximité avec Trump à des fins personnelles. Steve Witkoff, par exemple, un associé de longue date de Trump qui a été nommé envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient, a encaissé sa proximité avec Trump pour conclure des accords privés, dit cette personne. Le fils de Witkoff, Zach Witkoff, est le cofondateur de World Liberty Financial, la plate-forme bancaire cryptographique qui a lancé Trump de Memecoin. Au début de mars, Steve Witkoff a envoyé des défenseurs de la crypto-monnaie au Moyen-Orient pour promouvoir le dernier projet de stablecoin de World Liberty Financial, a rapporté le Wall Street Journal. "Steve Witkoff appelle chaque gouvernement souverain et dit:" Vous devez soutenir cette pièce si vous voulez être en règle avec Trump "", dit la personne.

One conservative entrepreneur suggests that the relationship between Trump and the technology industry was never destined to last. "Tech people don't get politicians, and politicians don

Un entrepreneur conservateur suggère que la relation entre Trump et l'industrie technologique n'a jamais été destinée à durer. «Les gens de la technologie ne reçoivent pas des politiciens et les politiciens