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Articles d’actualité sur les crypto-monnaies
Money Electric : La revue mystère du Bitcoin – Qui est Satoshi Nakamoto ?
Oct 09, 2024 at 08:00 am
La recherche de Satoshi dure maintenant depuis plus d’une décennie. Il a produit des ratés spectaculaires, y compris le tristement célèbre article de couverture de Newsweek de 2014 qui prétendait trouver Satoshi caché bien en vue à Los Angeles.
The search for Satoshi has now gone on for more than a decade. It has produced spectacular misfires, including Newsweek’s infamous 2014 cover story that claimed to find Satoshi hiding in plain sight in Los Angeles. The discovery was wildly wrong—Newsweek had instead found a confused older man whose last name happened to be Nakamoto—but the episode would become another piece of Bitcoin lore. It also served as a textbook example of the perils of confirmation bias.
La recherche de Satoshi dure maintenant depuis plus d’une décennie. Il a produit des ratés spectaculaires, y compris le tristement célèbre article de couverture de Newsweek de 2014 qui prétendait trouver Satoshi caché bien en vue à Los Angeles. La découverte était totalement fausse – Newsweek avait plutôt trouvé un homme âgé confus dont le nom de famille était Nakamoto – mais l’épisode allait devenir un autre élément de l’histoire du Bitcoin. Il a également servi d’exemple classique des dangers du biais de confirmation.
Now comes Cullen Hoback, whose new documentary Money Electric: The Bitcoin Mystery purports to unmask Satoshi Nakamoto once and for all. The film debuts at 9pm PT on HBO, the network that in 2021 released Hoback’s Q: Into the Story, a close-up look at the Q-Anon conspiracy that credibly pointed to the people who orchestrated it.
Vient maintenant Cullen Hoback, dont le nouveau documentaire Money Electric : The Bitcoin Mystery prétend démasquer Satoshi Nakamoto une fois pour toutes. Le film fait ses débuts à 21 heures (heure du Pacifique) sur HBO, le réseau qui a publié en 2021 Q: Into the Story de Hoback, un regard rapproché sur la conspiration Q-Anon qui désignait de manière crédible les personnes qui l'avaient orchestrée.
Hoback does not lack confidence (the trailer for Money Electric proclaims the “Internet’s greatest mystery” will be revealed) and, by and large, his documentary is a good one. It avoids the pitfalls of most other crypto films. Money Electric is not a fan film by groupies looking to promote a token. Nor does it disparage and ridicule the crypto industry without trying to understand it—a common approach by would-be sophisticated critics.
Hoback ne manque pas de confiance (la bande-annonce de Money Electric proclame que « le plus grand mystère d'Internet » sera révélé) et, dans l'ensemble, son documentaire est bon. Il évite les pièges de la plupart des autres films cryptographiques. Money Electric n’est pas un fan film de groupies cherchant à promouvoir un token. Il ne dénigre pas et ne ridiculise pas non plus l’industrie de la cryptographie sans essayer de la comprendre – une approche courante chez les critiques potentiels.
Instead, Hoback depicts a group of long-time Bitcoin advocates the way they see themselves: As the stewards of Satoshi’s gift, which gave the planet a form of money beyond the reach of intrusive, profligate governments. In this view, the villains are JPMorgan CEO Jamie Dimon—the Bitcoin-hating banker who is shown at the beginning and end of Money Electric—and Elizabeth Warren, the progressive senator who allied with Wall Street against crypto.
Au lieu de cela, Hoback dépeint un groupe de défenseurs de longue date du Bitcoin tels qu'ils se voient eux-mêmes : en tant qu'intendants du cadeau de Satoshi, qui a donné à la planète une forme d'argent hors de portée des gouvernements intrusifs et dépensiers. De ce point de vue, les méchants sont Jamie Dimon, PDG de JPMorgan – le banquier détestant le Bitcoin qui apparaît au début et à la fin de Money Electric – et Elizabeth Warren, la sénatrice progressiste qui s’est alliée à Wall Street contre la crypto.
Meanwhile, the central characters in Money Electric are those tied to Blockstream, a company that promotes the adoption of Bitcoin by individuals, companies and even countries. At the outset of the film, we meet Samson Mow, a self-proclaimed Bitcoin ambassador who helps persuade the Prince of Serbia and the President of El Salvador to embrace the currency.
Pendant ce temps, les personnages centraux de Money Electric sont ceux liés à Blockstream, une société qui promeut l’adoption du Bitcoin par les particuliers, les entreprises et même les pays. Au début du film, nous rencontrons Samson Mow, un ambassadeur autoproclamé du Bitcoin qui aide à persuader le prince de Serbie et le président du Salvador d'adopter la monnaie.
There is also Adam Back, the founder of Blockstream who is famous for creating Hash Cash, a precursor to Bitcoin. We also meet figures like Peter Todd, a Back acolyte and core Bitcoin developer, as well as Roger “Bitcoin Jesus” Ver, another influential early crypto figure who is currently facing charges for tax evasion. There are also cameos from high profile figures from the business world, including Jack Dorsey, the Twitter co-founder who renamed his other company from Square to Block as part of his dedication to crypto.
Il y a aussi Adam Back, le fondateur de Blockstream qui est célèbre pour avoir créé le Hash Cash, précurseur du Bitcoin. Nous rencontrons également des personnalités comme Peter Todd, un acolyte de Back et développeur principal de Bitcoin, ainsi que Roger « Bitcoin Jesus » Ver, une autre figure influente de la cryptographie qui fait actuellement face à des accusations d'évasion fiscale. Il y a également des apparitions de personnalités de haut niveau du monde des affaires, notamment Jack Dorsey, le co-fondateur de Twitter qui a renommé son autre société de Square à Block dans le cadre de son dévouement à la cryptographie.
The documentary’s interviews with this roster of longtime Bitcoiners lends it authority, as does its succinct handling of major events in crypto’s evolution. Those include the so-called block size wars over Bitcoin’s architecture, the rise of Ethereum and alt-coins (“shitcoins” to detractors) and the U.S. government’s recent campaign to hobble the industry.
Les entretiens du documentaire avec cette liste de Bitcoiners de longue date lui confèrent de l'autorité, tout comme sa gestion succincte des événements majeurs de l'évolution de la cryptographie. Il s'agit notamment des soi-disant guerres de taille de bloc autour de l'architecture du Bitcoin, de la montée en puissance de l'Ethereum et des alt-coins (« shitcoins » pour les détracteurs) et de la récente campagne du gouvernement américain visant à entraver l'industrie.
Satoshi ‘revealed’
Satoshi "révélé"
Money Electric also stands out from other crypto films because of its hefty production budget—Hoback shoots scenes in Malta, Canada, El Salvador and numerous other places—and because the director pushes in all his chips in claiming to identify Satoshi Nakamoto. Unfortunately, his bet is almost certainly wrong.
Money Electric se distingue également des autres films cryptographiques par son gros budget de production – Hoback tourne des scènes à Malte, au Canada, au Salvador et dans de nombreux autres endroits – et parce que le réalisateur met tout en œuvre pour prétendre identifier Satoshi Nakamoto. Malheureusement, son pari est presque certainement faux.
Hoback’s quest to identify Satoshi begins in the right direction. He identifies the most prominent figures in a network of “cypherpunks” who shared a passion for privacy and cryptography, and corresponded via a now-famous email list of the same name. It was this mailing list as well as an online forum called BitcoinTalk where, in addition to his famous white paper, Satoshi shared his vision for Bitcoin.
La quête de Hoback pour identifier Satoshi commence dans la bonne direction. Il identifie les personnalités les plus éminentes d’un réseau de « cypherpunks » qui partageaient une passion pour la vie privée et la cryptographie et correspondaient via une liste de diffusion désormais célèbre du même nom. Il s’agit de cette liste de diffusion ainsi que d’un forum en ligne appelé BitcoinTalk où, en plus de son célèbre livre blanc, Satoshi a partagé sa vision du Bitcoin.
Early in the documentary, Hoback shows photos of the cypherpunks most closely associated with Bitcoin and who represent the most likely candidates to be Satoshi. They are Back, the creator of Blockstream and Hash Cash, as well as other names familiar to longtime Bitcoiners: Hal Finney, Nick Szabo and Wei Dai.
Au début du documentaire, Hoback montre des photos des cypherpunks les plus étroitement associés à Bitcoin et qui représentent les candidats les plus probables pour être Satoshi. Il s'agit de Back, le créateur de Blockstream et Hash Cash, ainsi que d'autres noms familiers aux Bitcoiners de longue date : Hal Finney, Nick Szabo et Wei Dai.
Hoback makes a brief half-hearted effort to assess if these candidates are Satoshi, and then moves on to Craig Wright, an Australian charlatan who arrived on the crypto scene in 2016 with falsified evidence to claim he invented Bitcoin. Mercifully, the film maker is not taken in and moves on to other candidates. As Money Electric progresses, it zeroes in first on Back as a potential Satoshi and then on Back’s Blockstream protegé and friend, Peter Todd.
Hoback fait un bref effort sans enthousiasme pour évaluer si ces candidats sont Satoshi, puis passe à Craig Wright, un charlatan australien arrivé sur la scène de la cryptographie en 2016 avec des preuves falsifiées pour affirmer qu'il a inventé le Bitcoin. Heureusement, le cinéaste ne se laisse pas duper et passe à d'autres candidats. Au fur et à mesure que Money Electric progresse, il se concentre d'abord sur Back en tant que Satoshi potentiel, puis sur le protégé et ami Blockstream de Back, Peter Todd.
Todd is much younger than the other figures long identified as likely candidates, and would have been 19 or 20 years old at the time Satoshi Nakamoto published the Bitcoin white paper. To make his case that Todd is Satoshi, Hoback seizes on his 2013 email exchange with an unknown figure named John Dillon about a technical upgrade to Bitcoin.
Todd est beaucoup plus jeune que les autres personnalités identifiées depuis longtemps comme des candidats probables et aurait eu 19 ou 20 ans au moment où Satoshi Nakamoto a publié le livre blanc Bitcoin. Pour démontrer que Todd est Satoshi, Hoback s'empare de son échange de courriels de 2013 avec un personnage inconnu nommé John Dillon au sujet d'une mise à niveau technique de Bitcoin.
The emails were leaked in 2016 and caused a minor
Les courriels ont été divulgués en 2016 et ont causé un problème mineur
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