Un autre jour, un autre bilan de crypto d'un milliard de dollars qui met la réputation de cette industrie en jeu

Le token natif du mantra, OM, a dévoré plus de 90% dans les 24 heures le 13 avril, passant de 6,3 $ US (10 $ AU) à moins de 0,50 USD (0,80 $ AU)

Another day, another billion-dollar crypto wipeout that puts this industry’s reputation at stake, I guess.

Un autre jour, un autre bilan de crypto d'un milliard de dollars qui met en jeu la réputation de cette industrie, je suppose.

MANTRA’S native token, OM, cratered more than 90% within 24 hours on April 13, plummelling from US$6.3 (AU$10) to under US$0.50 (AU$0.80) and erasing over US$6B (AU$9.6B) in market value, according to data from CoinMarketCap.

Le Token natif de Mantra, OM, a déçu plus de 90% dans les 24 heures le 13 avril, passant de 6,3 $ US (10 $ AU) à moins de 0,50 USD (0,80 $ AU) et effaçant 6 milliards de dollars américains (9,6 milliards de dollars AU) en valeur de marché, selon les données de CoinmarketCap.

The collapse sent shockwaves across the crypto space, with several community members labelling it the biggest rug-pull since the infamous LUNA and FTX disasters.

L'effondrement a envoyé des ondes de choc à travers l'espace cryptographique, plusieurs membres de la communauté le qualifiant de plus grand tapis depuis les fameuses catastrophes Luna et FTX.

At press time, the token is… well, you just have to look at the chart:

Au moment de la presse, le jeton est… eh bien, il vous suffit de regarder le graphique:

In a pinned message in the project’s Telegram group (which has since been locked to new members), community lead Dustin McDaniel told users the team is “aware of concerns” and is actively investigating the situation.

Dans un message épinglé dans le groupe télégramme du projet (qui a depuis été enfermé pour les nouveaux membres), le directeur de la communauté Dustin McDaniel a déclaré aux utilisateurs que l'équipe était "consciente des préoccupations" et enquête activement sur la situation.

Moments later, MANTRA’s official X account posted a statement blaming “reckless liquidations”, not project-related wrongdoing (wink):

Quelques instants plus tard, le compte officiel X de Mantra a affiché une déclaration accusé des «liquidations imprudentes», et non des actes répréhensibles liés au projet (Wink):

Co-founder John Patrick Mullin added that the chaos stemmed from a “massive forced liquidation from a large OM investor on a CEX”, though he didn’t name the exchange. Classic.

Le co-fondateur John Patrick Mullin a ajouté que le chaos provenait d'une «liquidation forcée massive d'un grand investisseur OM sur un CEX», bien qu'il n'ait pas nommé l'échange. Classique.

But traders, investors, and many community members are sceptical of the “reckless liquidation” narrative, citing the suspiciously fast and deep plunge, as well as the token’s thin liquidity. Others have demanded a full post-mortem to determine whether the drop was caused by poor risk management, internal selling, or another orchestrated dump.

Mais les commerçants, les investisseurs et de nombreux membres de la communauté sont sceptiques quant au récit de la «liquidation imprudente», citant le plongeon suspigablement rapide et profond, ainsi que la fine liquidité du jeton. D'autres ont exigé un post mortem complet pour déterminer si la baisse a été causée par une mauvaise gestion des risques, une vente interne ou un autre dépotoir orchestré.

Yet, too soon to know if there’s a recovery plan. There is not even a detailed post-mortem and no confirmed timeline for… well, anything. Until then, it looks like MANTRA’s OM joins the very long list of tokens buried in the crypto cemetery.

Pourtant, trop tôt pour savoir s'il y a un plan de récupération. Il n'y a même pas de post mortem détaillé et pas de calendrier confirmé pour… enfin, n'importe quoi. Jusque-là, il semble que Om de Mantra rejoigne la très longue liste de jetons enfouis dans le cimetière cryptographique.

Moreover, the project has faced allegations over insiders holding a disproportionate control over the token’s circulating supply. Concerns started spreading when crypto user Anon Vee on X (formerly Twitter) shared that MANTRA’s team controls 90% of circulating supply.

De plus, le projet a fait face à des allégations sur les initiés détenant un contrôle disproportionné sur l'approvisionnement en circulation du jeton. Les préoccupations ont commencé à se propager lorsque l'utilisateur de crypto Anon Vee sur X (anciennement Twitter) a partagé que l'équipe de Mantra contrôle 90% de l'offre circulante.

Mullin dismissed those concerns in a post on X, stating that OM has been in circulation since August 2020, “longer than most of these people have been in crypto”, he added.

Mullin a rejeté ces préoccupations dans un poste sur X, déclarant que l'OM est en circulation depuis août 2020, «plus longtemps que la plupart de ces personnes ne l'ont été en crypto», a-t-il ajouté.

It doesn’t stop there. A Hong Kong court ordered six MANTRA DAO members to disclose financial records amid accusations of misappropriating DAO assets back in August 2024, according to reports.

Ça ne s'arrête pas là. Un tribunal de Hong Kong a ordonné à six membres du mantra DAO de divulguer des dossiers financiers au milieu des accusations de détournement des actifs DAO en août 2024, selon des rapports.

It’s also quite an insane moment for this to happen to MANTRA. Earlier this year, MANTRA signed a US$1B (AU$1.60B) tokenisation deal with DAMAC, the Dubai-based investment giant, to bring real estate, data centers, and other physical assets onto its blockchain.

C'est aussi un moment assez fou pour que cela arrive au mantra. Plus tôt cette année, Mantra a signé un accord de tokénisation de 1 milliard de dollars US (1,60 milliard de dollars AU) avec Damac, le géant des investissements basé à Dubaï, pour apporter des biens immobiliers, des centres de données et d'autres actifs physiques sur sa blockchain.

A month later, the project secured a virtual asset service provider license from Dubai’s VARA, opening the door to a range of regulated services in the UAE.

Un mois plus tard, le projet a obtenu une licence de fournisseur de services d'actifs virtuels de Vara de Dubaï, ouvrant la porte à une gamme de services réglementés aux EAU.