Comment Ripple a dirigé le Bitcoin "China Fud"

Les e-mails internes de l'ondulation de 2018 - soumis à la poursuite de la Commission américaine de Securities and Exchange Commission (SEC) concernant des ventes présumées de valeurs mobilières non enregistrées - ont refait surface.

Internal emails from 2018, submitted by Ripple in the US Securities and Exchange Commission (SEC) lawsuit over alleged unregistered securities sales, have resurfaced, offering a glimpse into how Ripple executives and staff actively discussed promoting the narrative that Bitcoin is “controlled by China.”

Les courriels internes de 2018, soumis par Ripple dans le procès américain de la Securities and Exchange Commission (SEC) sur les ventes présumées de valeurs mobilières non enregistrées, ont refait surface, offrant un aperçu de la façon dont les dirigeants et le personnel de Ripple ont activement discuté de la promotion du récit que Bitcoin est «contrôlé par la Chine».

One of the cited emails, labeled "4) China + Bitcoin," contains the following directive: "This feels similar to what Brad and [Redacted] already say publicly about Bitcoin being run by China."

L'un des e-mails cités, étiquetés "4) Chine + Bitcoin," contient la directive suivante: "Cela ressemble à ce que Brad et [expurgé] disent déjà publiquement sur le bitcoin dirigé par la Chine."

Another segment outlines a plan to produce an "insights post" contrasting XRP with other cryptocurrencies: "We could pitch this out as it would get a ton of play as ‘Ripple’s Response to [Redacted].’ Note: This feels like it would run opposite to our current promotion efforts around exchanges. As of right now, we have told all current or future exchanges that we are not able to provide promotion help."

Un autre segment décrit un plan pour produire un "Post Insights" contrastant XRP avec d'autres crypto-monnaies: "Nous pourrions lancer cela car il obtiendrait une tonne de jeu en tant que« réponse de Ripple à [expurgé] ». Remarque: Cela semble se présenter à nos efforts de promotion actuels autour des échanges.

In addition to these strategic notes, email exchanges among Ripple staff dated July 16, 2018, suggest a detailed, ongoing conversation about how best to frame Bitcoin’s perceived centralization issues. One staff member wrote: "How is the bitcoin/china story different than the one we are already working on with [Redacted]? Are we willing to put someone on the record now to specifically call out bitcoin and ethereum?"

En plus de ces notes stratégiques, les échanges de courriels entre le personnel de Ripple daté du 16 juillet 2018, suggèrent une conversation détaillée et continue sur la meilleure façon de cadrer les problèmes de centralisation perçus de Bitcoin. Un membre du personnel a écrit: "En quoi l'histoire du Bitcoin / Chine est-elle différente de celle sur laquelle nous travaillons déjà avec [expurgé]? Sommes-nous prêts à mettre quelqu'un sur le dossier maintenant pour appeler spécifiquement Bitcoin et Ethereum?"

A [Redacted] staffer then proposed a meeting: "Can we all circle up sometime today to discuss next steps?" The emails underscore that "China + Bitcoin" was an internal talking point at Ripple, seemingly aimed at highlighting Bitcoin’s alleged vulnerabilities tied to Chinese mining pools in order to promote XRP as "decentralized".

Un membre du personnel [expurgé] a ensuite proposé une réunion: "Pouvons-nous tous encercler aujourd'hui pour discuter des prochaines étapes?" Les e-mails soulignent que "China + Bitcoin" était un sujet de discussion interne à Ripple, apparemment visant à mettre en évidence les vulnérabilités présumées de Bitcoin liées aux piscines minières chinoises afin de promouvoir XRP comme "décentralisée".

These newly surfaced emails come shortly after US President Donald Trump announced the US Strategic Bitcoin Reserve. Notably, leaks have revealed that Ripple opposed a "Bitcoin-only" strategy, lobbying for a more diversified approach that would include XRP, Solana (SOL), and Cardano (ADA). Ripple CEO Brad Garlinghouse reportedly met with the Trump administration to advocate for broader inclusion of digital assets.

Ces courriels nouvellement surfacés surviennent peu de temps après que le président américain Donald Trump a annoncé la réserve stratégique de Bitcoin américaine. Notamment, les fuites ont révélé que Ripple s'opposait à une stratégie "Bitcoin uniquement", faisant du lobbying pour une approche plus diversifiée qui inclurait XRP, Solana (Sol) et Cardano (ADA). Le PDG de Ripple, Brad Garlinghouse, aurait rencontré l'administration Trump pour défendre une inclusion plus large des actifs numériques.

Publicly, Ripple’s lobbying efforts have been positioned as part of a campaign to shape crypto-friendly regulations. However, critics assert that Ripple’s behind-the-scenes work—evidenced by the leaked emails—took on a distinctly anti-Bitcoin tone.

En public, les efforts de lobbying de Ripple ont été positionnés dans le cadre d'une campagne pour façonner les réglementations conviviales cryptographiques. Cependant, les critiques affirment que le travail de Ripple dans les coulisses - a été appris par les e-mails divulgués - a fait un ton nettement anti-bitcoin.

Critics quickly seized upon an October 9, 2018 tweet from Ripple CTO David “JoelKatz” Schwartz (@JoelKatz), which stated: “A new study shows China controls 74% of bitcoin. Does that sound decentralized to you?” According to critics, this tweet closely aligns with the July 2018 email discussions, suggesting a concerted PR strategy to depict Bitcoin as centralized.

Les critiques ont rapidement saisi un tweet du 9 octobre 2018 de Ripple CTO David «Joelkatz» Schwartz (@joelkatz), qui a déclaré: «Une nouvelle étude montre que la Chine contrôle 74% de Bitcoin. Cela vous semble-t-il décentralisé? Selon les critiques, ce tweet s'aligne étroitement sur les discussions par e-mail de juillet 2018, suggérant une stratégie de relations publiques concertée pour représenter le bitcoin comme centralisé.

Longtime XRP skeptic Pierre Rochard, VP of Research at Riot Platforms, Inc., responded on X: “I don’t respect David Schwartz, Ripple, or XRP. For the past decade their marketing strategy to hype their pre-mined altcoin has been to buy and promote anti-bitcoin disinformation while pretending that banks want to use XRP (they don’t). They’ll say and do anything to advance their centralized garbage ‘technology’ that has zero utility.”

Le sceptique de longue date de XRP, Pierre Rochard, vice-président de la recherche sur Riot Platforms, Inc., a répondu sur X: «Je ne respecte pas David Schwartz, Ripple ou XRP. Au cours de la dernière décennie, leur stratégie de marketing pour le battage médiatique de leur altcoin pré-miné a été d'acheter et de promouvoir la désinformation anti-bitcoin tout en prétendant que les banques veulent utiliser XRP (ils ne le font pas). Ils diront et feront tout pour faire avancer leur «technologie» de déchets centralisée qui n'a aucun utilité. »

Rochard also added: “Brad Garlinghouse did his best to smear Bitcoin as bad for the environment and controlled by China. Disinformation. The truth won, he lost.”

Rochard a également ajouté: «Brad Garlinghouse a fait de son mieux pour salir Bitcoin aussi mauvais pour l'environnement et contrôlé par la Chine. Désinformation. La vérité a gagné, il a perdu.

Ripple’s Long History Of Anti-Bitcoin Marketing

La longue histoire de Ripple de marketing anti-bitcoin

Remarkably, Ripple has a long history of attacking Bitcoin. Ripple’s co-founder and executive chairman, Chris Larsen, has been a vocal advocate for shifting Bitcoin’s consensus mechanism from Proof of Work (PoW) to Proof of Stake (PoS). In March 2022, Larsen personally funded a $5 million Greenpeace USA campaign called “Change the Code,” aimed at pressuring Bitcoin developers and prominent industry figures to alter Bitcoin’s mining protocol.

Remarquablement, Ripple a une longue histoire d'attaque Bitcoin. Le co-fondateur et président exécutif de Ripple, Chris Larsen, a été un défenseur vocal pour le déplacement du mécanisme de consensus de Bitcoin de la preuve de travail (POW) à la preuve de la participation (POS). En mars 2022, Larsen a personnellement financé une campagne de 5 millions de dollars Greenpeace USA intitulée «Changer le code», visant à faire pression sur les développeurs de Bitcoin et les principaux chiffres de l'industrie pour modifier le protocole minier de Bitcoin.

Despite high-profile advertising and an attention-grabbing art installation by Benjamin Von Wong—the “Skull of Satoshi”—the campaign backfired spectacularly. Bitcoiners embraced it as “badass,” co-opting it as a mascot. On March 25, 2023, Von Wong posted a Twitter thread admitting he’d been “wrong” to view Bitcoin’s environmental impact as a “black-and-white issue.”

Malgré la publicité de grande envergure et une installation artistique qui attire l'attention par Benjamin von Wong - le «Skull of Satoshi» - la campagne se retourna de façon spectaculaire. Les Bitcoiners l'ont embrassé comme «dur à cuire», en le coopant comme une mascotte. Le 25 mars 2023, Von Wong a publié un fil Twitter admettant qu'il avait été «faux» de considérer l'impact environnemental de Bitcoin comme un «problème noir et blanc».

After engaging with Bitcoin advocates online, he acknowledged that mining’s energy dynamics were complex—PoW could drive renewable adoption rather than just harm the planet. He shifted from advocating a code change to suggesting Bitcoiners “work within the system” to green the network, a notable pivot from the campaign’s original intent. Greenpeace, however, doubled down, continuing to tour the skull to push its message, despite Von Wong’s softened rhetoric.

Après s'être engagée avec les défenseurs de Bitcoin en ligne, il a reconnu que la dynamique énergétique de Mining était complexe - POW pourrait stimuler l'adoption renouvelable plutôt que de nuire à la planète. Il est passé de la défense d'un changement de code à la suggestion de bitcoins «travaillez dans le système» pour verter le réseau, un pivot notable de l'intention originale de la campagne. Greenpeace, cependant, a doublé, continuant à visiter le crâne pour pousser son message, malgré la rhétorique adoucie de Von Wong.

At press time, BTC traded at $81,593.

Au moment de la presse, BTC s'est échangé à 81 593 $.