Le protocole : collecte de fonds cryptographiques, pertes d'emplois, paiements juteux, subventions pour les développeurs

Dans le numéro de cette semaine de The Protocol, notre newsletter sur la technologie blockchain, nous couvrons l'engagement de 42,5 millions de dollars d'Optimism envers Kraken, le financement crypto VC, les subventions pour les développeurs open source Bitcoin et l'impact (négligeable) de Polymarket sur les résultats de Polygon.

The Protocol: Crypto Fundraising, Job Losses, Juicy Payouts, Grants for Devs In an industry where the whole point is to revolutionize the business of money, the hunt for actual money is quite real. Sometimes it comes in tokens, sometimes in cash; when teams run out of money, jobs are lost. When projects hit a stride, developers reap windfalls – though not always. We've got all sorts of money stories this week – from a report on funding for Bitcoin Core developers, to the Optimism Foundation's $42.5 million grant to crypto exchange Kraken (a scoop!), to the Stratos report on crypto venture capital firms. I almost decided to call this, "The Money issue," or something like that. But it all just sort of happened organically, so here you go.

Le protocole : collecte de fonds cryptographiques, pertes d'emplois, paiements juteux, subventions pour les développeurs Dans une industrie où l'objectif est de révolutionner le commerce de l'argent, la chasse à l'argent réel est bien réelle. Parfois, il s’agit de jetons, parfois d’espèces ; lorsque les équipes manquent d’argent, des emplois sont perdus. Lorsque les projets avancent à grands pas, les développeurs récoltent des bénéfices inattendus – mais pas toujours. Nous avons toutes sortes d'histoires financières cette semaine – d'un rapport sur le financement des développeurs Bitcoin Core, à la subvention de 42,5 millions de dollars de la Optimism Foundation à l'échange crypto Kraken (un scoop !), en passant par le rapport Stratos sur les sociétés de capital-risque crypto. J'ai presque décidé d'appeler cela « la question de l'argent », ou quelque chose comme ça. Mais tout s’est produit de manière organique, alors voilà.

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Cumulative gas fees Polymarket on Polygon PoS in 2024 have totaled just over $27,000 this year, through Oct. 23. (Token Terminal)

Les frais cumulés de gaz Polymarket sur Polygon PoS en 2024 ont totalisé un peu plus de 27 000 $ cette année, jusqu'au 23 octobre. (Token Terminal)

Polymarket, a decentralized predictions market, has been a massive success for the Polygon blockchain team. The betting app has been organically breaking out, getting mainstream usage and attention – speculation on presidential elections! And the Satoshi HBO documentary! But according to data, Polymarket has only brought in a meager $27,000 in fees on Polygon’s PoS blockchain in 2024, CoinDesk's Margaux Nijkerk reported in her incredibly smart and surprising dive into the topic. How is this possible?

Polymarket, un marché de prédictions décentralisé, a été un énorme succès pour l'équipe blockchain de Polygon. L’application de paris s’est développée de manière organique, attirant une utilisation et une attention grand public – spéculation sur les élections présidentielles ! Et le documentaire Satoshi HBO ! Mais selon les données, Polymarket n'a rapporté que 27 000 $ de frais sur la blockchain PoS de Polygon en 2024, a rapporté Margaux Nijkerk de CoinDesk dans sa plongée incroyablement intelligente et surprenante sur le sujet. Comment est-ce possible ?

Polygon Labs CEO Marc Boiron agreed that $27,000 is a low figure, but he told Nijkerk that the dynamic illustrates just how cheap it is to use the blockchain – a selling point. The fee for a transaction on Polygon PoS is about $0.007, easily below the sub-cent threshold that several teams have targeted. Boiron argues that apps like Polymarket aren’t expected to bring in large revenues in transaction fees, as one might expect from more transaction-intensive applications like decentralized crypto exchanges.

Le PDG de Polygon Labs, Marc Boiron, a reconnu que 27 000 $ est un chiffre faible, mais il a déclaré à Nijkerk que la dynamique illustre à quel point il est bon marché d'utiliser la blockchain – un argument de vente. Les frais pour une transaction sur Polygon PoS sont d'environ 0,007 $, soit facilement en dessous du seuil inférieur au centime ciblé par plusieurs équipes. Boiron fait valoir que des applications comme Polymarket ne devraient pas générer des revenus importants en frais de transaction, comme on pourrait s'y attendre d'applications plus gourmandes en transactions comme les échanges cryptographiques décentralisés.

“The question is, like, Why is Polymarket so interesting if they are only bringing in $20K?" Boiron told CoinDesk. "The obvious reason is just, let's call it attention.” The success shows that “you can have an amazingly successful app on Polygon PoS that, like you can, you hardly even know that you're using a blockchain,” Boiron said.

"La question est, par exemple, pourquoi Polymarket est-il si intéressant s'il ne rapporte que 20 000 $?", a déclaré Boiron à CoinDesk. "La raison évidente est simplement d'attirer l'attention." Le succès montre que « vous pouvez avoir une application incroyablement réussie sur Polygon PoS et, comme vous le pouvez, vous savez à peine que vous utilisez une blockchain », a déclaré Boiron.

It was big enough news last week when the U.S. crypto exchange Kraken announced that it is launching its own layer-2 network atop the Ethereum blockchain, based on technology borrowed from Optimism – the same provider that powers rival Coinbase's layer-2 network, Base. Ink, as Kraken's new network is known, is being built on the OP stack, a customizable toolkit that lets developers create their own blockchains using Optimism’s technology. The network is expected to go live in early 2025. (CoinDesk broke the news about a year ago that Kraken was considering following Coinbase into the layer-2 space.)

La semaine dernière, l'échange de crypto-monnaie américain Kraken a annoncé le lancement de son propre réseau de couche 2 au sommet de la blockchain Ethereum, basé sur une technologie empruntée à Optimism, le même fournisseur qui alimente le réseau de couche 2 de son rival Coinbase, Base. Ink, comme on appelle le nouveau réseau de Kraken, est construit sur la pile OP, une boîte à outils personnalisable qui permet aux développeurs de créer leurs propres blockchains à l'aide de la technologie d'Optimism. Le réseau devrait être opérationnel début 2025. (CoinDesk a annoncé il y a environ un an que Kraken envisageait de suivre Coinbase dans l'espace de couche 2.)

The immediate takeaway was that Optimism and its "Superchain" appear to be winning the layer-2 race versus competitors like Arbitrum and Polygon. But as these things go, sometimes it takes a little extra time for the full story to dribble out. CoinDesk's Margaux Nijkerk, after some hard-nosed reporting, extracted the crucial detail that the Optimism Foundation paid Kraken a grant of some 25 million OP tokens (worth $42.5 million at the current price) to build on OP Stack.

Ce qu'il faut immédiatement retenir, c'est qu'Optimism et sa « Superchain » semblent gagner la course de couche 2 contre des concurrents comme Arbitrum et Polygon. Mais au fur et à mesure que les choses avancent, il faut parfois un peu plus de temps pour que l’histoire complète se dévoile. Margaux Nijkerk de CoinDesk, après quelques reportages intransigeants, a extrait le détail crucial selon lequel la Fondation Optimisme a versé à Kraken une subvention d'environ 25 millions de jetons OP (d'une valeur de 42,5 millions de dollars au prix actuel) pour s'appuyer sur OP Stack.

Lest this lead to head-scratching — don't customers usually pay suppliers? — what is actually happening here is that the foundation is using its considerable warchest of spare tokens to encourage new networks to join the Superchain, and subsidize their development – with the ultimate goal of reaching critical mass (and potentially an insurmountable lead). The foundation's chief growth officer, Ryan Wyatt, posted on X (after the story ran) that the "Collective is not going to stop investing in developers."

De peur que cela ne conduise à des casse-tête : les clients ne paient-ils généralement pas les fournisseurs ? — ce qui se passe réellement ici, c'est que la fondation utilise sa réserve considérable de jetons de rechange pour encourager de nouveaux réseaux à rejoindre la Superchain et subventionner leur développement – ​​dans le but ultime d'atteindre une masse critique (et potentiellement une avance insurmontable). Le directeur de la croissance de la fondation, Ryan Wyatt, a publié sur X (après la parution de l'article) que « le collectif ne va pas arrêter d'investir dans les développeurs ».

Consensys, one of the main supporters of the Ethereum network, announced plans on Tuesday to lay off 20% of its workforce, blaming broader macroeconomic conditions and ongoing regulatory uncertainty, including the Securities and Exchange Commission’s (SEC) “abuse of power” in the space. Later in the day, the news emerged that, dYdX, the company building an on-chain crypto derivatives exchange, had fired 35% of its core team. The shake up adds more turbulence to dYdx's 2024 staffing woes, which had already seen CEO Antonio Juliano step down from the leadership post, only to return in early October.

Consensys, l'un des principaux partisans du réseau Ethereum, a annoncé mardi son intention de licencier 20 % de ses effectifs, accusant les conditions macroéconomiques plus larges et l'incertitude réglementaire persistante, notamment « l'abus de pouvoir » de la Securities and Exchange Commission (SEC) au cours de l'année. espace. Plus tard dans la journée, la nouvelle est apparue selon laquelle dYdX, la société qui construit une bourse de dérivés cryptographiques en chaîne, avait licencié 35 % de son équipe de base. Ce bouleversement ajoute encore plus de turbulences aux problèmes de personnel de dYdx en 2024, qui avaient déjà vu le PDG Antonio Juliano quitter son poste de direction, pour revenir début octobre.

From Smuggling Gold Out of Africa to Bridging Bitcoin and Cardano

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