L'avocat en cryptographie John Deaton fait le point sur l'affaire Ripple vs SEC : quelqu'un « doit parler » pour les détenteurs de XRP

L'avocat en cryptographie John E Deaton a fourni une mise à jour importante sur la situation autour de la SEC et de Ripple dans son dernier tweet viral hier soir.

Crypto lawyer John E Deaton provided a big update on the situation around SEC and Ripple in his latest viral tweet last night. The update highlighted Judge Torres’ pivotal decision in the case, with Deaton emphasizing her background as a Democratic judge appointed by President Barack Obama.

L'avocat en cryptographie John E Deaton a fourni une mise à jour importante sur la situation autour de la SEC et de Ripple dans son dernier tweet viral hier soir. La mise à jour mettait en évidence la décision cruciale du juge Torres dans cette affaire, Deaton soulignant son expérience de juge démocrate nommée par le président Barack Obama.

Her ruling explicitly stated that “XRP itself is NOT a security,” effectively legitimizing XRP trading on cryptocurrency exchanges like Coinbase. This decision carries considerable weight across partisan lines and potentially sets a precedent for other cryptocurrencies facing similar regulatory challenges.

Sa décision a explicitement déclaré que « le XRP en lui-même n'est PAS une sécurité », légitimant ainsi le trading de XRP sur des bourses de crypto-monnaie comme Coinbase. Cette décision a un poids considérable au-delà des lignes partisanes et crée potentiellement un précédent pour d’autres crypto-monnaies confrontées à des défis réglementaires similaires.

The situation takes an interesting turn with Chris Larsen, one of Ripple's executives previously sued by the SEC for personal XRP sales, recently donating millions of XRP to Vice President Kamala Harris through Coinbase. This transaction highlights a striking contradiction, as Coinbase itself faces SEC scrutiny for allegedly operating an illegal business model by facilitating token transfers, including XRP.

La situation prend une tournure intéressante avec Chris Larsen, l'un des dirigeants de Ripple précédemment poursuivi en justice par la SEC pour ventes personnelles de XRP, qui a récemment fait don de millions de XRP au vice-président Kamala Harris via Coinbase. Cette transaction met en évidence une contradiction frappante, car Coinbase lui-même fait l'objet d'un examen minutieux par la SEC pour avoir prétendument exploité un modèle commercial illégal en facilitant les transferts de jetons, y compris XRP.

Moreover, Judge Torres, a lifelong Democratic Judge, who was fought to be put on the bench by Senator Kirsten Gillibrand and appointed by former President Barack Obama, made a clear ruling that “XRP itself is NOT a security” and that sales of XRP, on exchanges like Coinbase, are completely legal. This decision is so impactful that one of Ripple's executives, Chris Larsen, who was personally sued by the SEC for his XRP sales, recently donated millions of XRP to Vice President Kamala Harris through Coinbase.

De plus, le juge Torres, un juge démocrate de longue date, qui s'est battu pour être nommé sur le banc par la sénatrice Kirsten Gillibrand et nommé par l'ancien président Barack Obama, a rendu une décision claire selon laquelle « le XRP en lui-même n'est PAS une sécurité » et que les ventes de XRP, sur des bourses comme Coinbase, sont tout à fait légaux. Cette décision a un tel impact que l'un des dirigeants de Ripple, Chris Larsen, qui a été personnellement poursuivi par la SEC pour ses ventes de XRP, a récemment fait don de millions de XRP au vice-président Kamala Harris via Coinbase.

This transaction is particularly noteworthy because Coinbase is facing SEC allegations that it operates an illegal business model by facilitating token transfers, such as XRP, which are at the heart of this case. To further complicate matters, the SEC had approved Coinbase's IPO two years prior, deeming it in the public's interest despite being fully aware of the exchange's business model.

Cette transaction est particulièrement remarquable car Coinbase fait face à des allégations de la SEC selon lesquelles il exploiterait un modèle commercial illégal en facilitant les transferts de jetons, tels que XRP, qui sont au cœur de cette affaire. Pour compliquer encore les choses, la SEC avait approuvé l'introduction en bourse de Coinbase deux ans auparavant, estimant qu'elle était dans l'intérêt du public bien qu'elle soit pleinement consciente du modèle commercial de la bourse.

Adding to the complexity, Deaton pointed out that the SEC had approved Coinbase's IPO two years earlier, deeming it in the public's interest despite being fully aware of the exchange's business model. Deaton likened the regulatory situation to “the possessed girl in the movie, The Exorcist,” highlighting what he sees as confusion and inconsistency in the regulatory approach.

Ajoutant à la complexité, Deaton a souligné que la SEC avait approuvé l'introduction en bourse de Coinbase deux ans plus tôt, estimant qu'elle était dans l'intérêt du public bien qu'elle soit pleinement consciente du modèle commercial de la bourse. Deaton a comparé la situation réglementaire à « la fille possédée du film L’Exorciste », soulignant ce qu’il considère comme une confusion et une incohérence dans l’approche réglementaire.

Highlighting his extensive involvement in supporting XRP holders, Deaton noted that Judge Torres referenced nearly 4,000 affidavits he submitted on their behalf. Despite providing these services pro bono, Deaton faced criticism from Senator Elizabeth Warren during a debate. However, he remains committed to representing XRP holders through the SEC's appeal process, whether as a lawyer or a private citizen.

Soulignant sa forte implication dans le soutien aux détenteurs de XRP, Deaton a noté que le juge Torres a fait référence à près de 4 000 affidavits qu'il a soumis en leur nom. Bien qu'il ait fourni ces services bénévolement, Deaton a été critiqué par la sénatrice Elizabeth Warren lors d'un débat. Cependant, il reste déterminé à représenter les détenteurs de XRP dans le cadre de la procédure d'appel de la SEC, que ce soit en tant qu'avocat ou citoyen privé.

Deaton concluded by expressing concerns about America's position in cryptocurrency innovation, criticizing SEC Chairman Gary Gensler's approach while emphasizing the need for clearer regulatory frameworks to maintain the United States' competitive edge in emerging technologies. He concluded with “Someone has to speak for token holders and it's an honor for me to continue to be that person because America must be a leader when it comes to innovation.”

Deaton a conclu en exprimant ses inquiétudes quant à la position américaine en matière d'innovation en matière de cryptomonnaie, critiquant l'approche du président de la SEC, Gary Gensler, tout en soulignant la nécessité de cadres réglementaires plus clairs pour maintenir l'avantage concurrentiel des États-Unis dans les technologies émergentes. Il a conclu par "Quelqu'un doit parler au nom des détenteurs de jetons et c'est un honneur pour moi de continuer à être cette personne car l'Amérique doit être un leader en matière d'innovation."

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