« Boys' Room » : exploration des habitudes de nettoyage des hommes new-yorkais à travers une série humoristique TikTok

La série TikTok de la comédienne new-yorkaise Rachel Coster, "Boy Room", explore avec humour les conditions de vie insalubres des jeunes hommes de la ville. La série a rassemblé plus de 73 000 abonnés et présente des interviews de six hommes, dont Blake, dont la chambre ressemble à une benne à ordures. La mission de Coster est de comprendre comment ces hommes peuvent vivre dans un tel désarroi, en proposant des suggestions légères d'amélioration pour révolutionner leurs habitudes.

La Propreté selon les Hommes de New York

La Propreté selon les Hommes de New York

La comédienne Rachel Coster a entrepris une exploration humoristique du concept de propreté masculine dans sa série TikTok intitulée "Boy Room". Cette série, qui a rassemblé plus de 73 000 abonnés, offre un aperçu fascinant des conditions de vie peu orthodoxes de certains hommes new-yorkais.

La comédienne Rachel Coster a entrepris une exploration humoristique du concept de propreté masculine dans sa série TikTok intitulée "Boy Room". Cette série, qui a rassemblé plus de 73 000 abonnés, offre un aperçu fascinant des conditions de vie peu orthodoxes de certains hommes new-yorkais.

Dans chacune des six vidéos de la série, Coster visite l'appartement d'un homme différent, s'aventurant dans des chambres qui ressemblent davantage à des décharges qu'à des espaces de repos. Elle interroge les résidents avec humour et compréhension, cherchant à découvrir comment ils parviennent à cohabiter avec un tel désordre.

Dans chacune des six vidéos de la série, Coster visite l'appartement d'un homme différent, s'aventurant dans des chambres qui ressemblent davantage à des décharges qu'à des espaces de repos. Elle interroge les résidents avec humour et compréhension, cherchant à découvrir comment ils parviennent à cohabiter avec un tel désordre.

Coster explique au New York Times que l'idée de cette série lui est venue lors de rendez-vous amoureux. "Lorsqu'on se retrouve chez quelqu'un que l'on ne connaît pas vraiment, visiter sa chambre donne un aperçu immédiat de la personne à laquelle on a affaire", a-t-elle déclaré.

Coster explique au New York Times que l'idée de cette série lui est venue lors de rendez-vous amoureux. "Lorsqu'on se retrouve chez quelqu'un que l'on ne connaît pas vraiment, visiter sa chambre donne un aperçu immédiat de la personne à laquelle on a affaire", a-t-elle déclaré.

Pour trouver ces "garçons un peu cracras", Coster et sa boîte de production ont créé un site Web où les gens peuvent soumettre des candidatures et envoyer des photos de leurs appartements. Certains hommes se sont également portés candidats volontairement, comme Chris, 27 ans, qui considérait l'état de son "habitat naturel" comme digne d'être exposé dans la série.

Pour trouver ces "garçons un peu cracras", Coster et sa boîte de production ont créé un site Web où les gens peuvent soumettre des candidatures et envoyer des photos de leurs appartements. Certains hommes se sont également portés candidats volontairement, comme Chris, 27 ans, qui considérait l'état de son "habitat naturel" comme digne d'être exposé dans la série.

Malgré le ton humoristique de la série, Coster insiste sur le fait qu'elle est réalisée avec bienveillance, dans le seul but de faire rire sans mettre les participants mal à l'aise. Elle conclut chaque vidéo en donnant des conseils pratiques pour améliorer la situation, tels que ranger les chaussettes dans un tiroir ou investir dans une housse de couette propre.

Malgré le ton humoristique de la série, Coster insiste sur le fait qu'elle est réalisée avec bienveillance, dans le seul but de faire rire sans mettre les participants mal à l'aise. Elle conclut chaque vidéo en donnant des conseils pratiques pour améliorer la situation, tels que ranger les chaussettes dans un tiroir ou investir dans une housse de couette propre.

La série "Boy Room" a suscité des réactions mitigées de la part du public. Certains ont salué le regard amusant qu'elle porte sur les habitudes de propreté des hommes, tandis que d'autres ont exprimé des inquiétudes quant à la possibilité qu'elle stigmatise les hommes qui ne correspondent pas à des normes de propreté traditionnelles.

La série "Boy Room" a suscité des réactions mitigées de la part du public. Certains ont salué le regard amusant qu'elle porte sur les habitudes de propreté des hommes, tandis que d'autres ont exprimé des inquiétudes quant à la possibilité qu'elle stigmatise les hommes qui ne correspondent pas à des normes de propreté traditionnelles.

Néanmoins, la série a certainement fait la lumière sur un aspect souvent négligé de la vie urbaine : la grande disparité dans les normes de propreté personnelles. Que cela provoque ou non des changements dans les habitudes de nettoyage des "garçons" de New York reste à voir, mais elle a au moins suscité une conversation sur un sujet qui est souvent tabou dans la société.

Néanmoins, la série a certainement fait la lumière sur un aspect souvent négligé de la vie urbaine : la grande disparité dans les normes de propreté personnelles. Que cela provoque ou non des changements dans les habitudes de nettoyage des "garçons" de New York reste à voir, mais elle a au moins suscité une conversation sur un sujet qui est souvent tabou dans la société.