Edo Farina attribue les origines du Bitcoin (BTC) et du XRP à l'Agence de sécurité nationale (NSA), suscitant un débat

Edo Farina, PDG d'Alpha Lions Academy, a récemment affirmé que les mêmes entités derrière Bitcoin (BTC) avaient également créé XRP. Ses affirmations ont suscité un débat important, car elles remettent en question les récits largement acceptés sur les origines de ces actifs numériques.

Edo Farina, the CEO of Alpha Lions Academy, recently made a bold claim on Twitter, suggesting that the same entities responsible for creating Bitcoin (BTC) were also involved in XRP's creation.

Edo Farina, PDG d'Alpha Lions Academy, a récemment fait une déclaration audacieuse sur Twitter, suggérant que les mêmes entités responsables de la création de Bitcoin (BTC) étaient également impliquées dans la création de XRP.

Farina’s assertions sparked significant debate and discussion online, as they challenge widely accepted narratives about the origins of these digital assets. Below, we examine his key points and unpack the broader context surrounding this topic.

Les affirmations de Farina ont suscité d'importants débats et discussions en ligne, car elles remettent en question les récits largement acceptés sur les origines de ces actifs numériques. Ci-dessous, nous examinons ses points clés et décomposons le contexte plus large entourant ce sujet.

Farina’s Key Points:

Les points clés de Farina :

The creators of Bitcoin are also responsible for creating XRP.

Les créateurs de Bitcoin sont également responsables de la création du XRP.

The CIA and NSA deployed Bitcoin to prevent foreign powers from developing similar technologies that could dominate digital payments and generate massive profits.

La CIA et la NSA ont déployé Bitcoin pour empêcher les puissances étrangères de développer des technologies similaires qui pourraient dominer les paiements numériques et générer des profits massifs.

“Satoshi Nakamoto” is not an individual but rather an organization.

« Satoshi Nakamoto » n'est pas un individu mais plutôt une organisation.

Farina’s claims specifically attribute the creation of Bitcoin to the National Security Agency (NSA), framing it as a “beta test coin” designed to gauge the potential and challenges associated with blockchain technology.

Les affirmations de Farina attribuent spécifiquement la création de Bitcoin à la National Security Agency (NSA), le présentant comme une « pièce de test bêta » conçue pour évaluer le potentiel et les défis associés à la technologie blockchain.

According to his theory, the true identity behind the pseudonymous “Satoshi Nakamoto” is not a single person but rather an organization with ties to intelligence agencies.

Selon sa théorie, la véritable identité derrière le pseudonyme « Satoshi Nakamoto » n’est pas une seule personne mais plutôt une organisation ayant des liens avec les agences de renseignement.

Farina suggests that the major driving force behind Bitcoin’s creation was to monitor and control global financial transactions, ultimately serving as a precursor to central bank digital currencies (CBDCs).

Farina suggère que la principale force motrice derrière la création de Bitcoin était de surveiller et de contrôler les transactions financières mondiales, servant finalement de précurseur aux monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

Highlighting Bitcoin’s limitations as a functional currency, Farina points out its high fees, slow transaction speeds, and reliance on secondary solutions like the Lightning Network to facilitate smaller transactions.

Soulignant les limites du Bitcoin en tant que monnaie fonctionnelle, Farina souligne ses frais élevés, ses vitesses de transaction lentes et son recours à des solutions secondaires telles que le réseau Lightning pour faciliter les transactions plus petites.

He argues that these shortcomings render Bitcoin unsuitable for widespread financial adoption, especially in the context of CBDCs.

Il fait valoir que ces lacunes rendent Bitcoin impropre à une adoption financière généralisée, en particulier dans le contexte des CBDC.

Countering this narrative, Farina claims that XRP was designed to address Bitcoin’s inefficiencies, describing it as “Bitcoin 2.0.” He credits XRP's co-creators—David Schwartz, Jed McCaleb, and Arthur Brito—with building a more practical and scalable blockchain solution.

Contrairement à ce récit, Farina affirme que XRP a été conçu pour remédier aux inefficacités de Bitcoin, le décrivant comme « Bitcoin 2.0 ». Il attribue aux co-créateurs de XRP, David Schwartz, Jed McCaleb et Arthur Brito, la création d'une solution blockchain plus pratique et évolutive.

Highlighting XRP’s speed, low transaction costs, and ability to handle large-scale financial transactions, Farina positions XRP as the superior choice for a global digital asset.

Mettant en avant la rapidité du XRP, ses faibles coûts de transaction et sa capacité à gérer des transactions financières à grande échelle, Farina positionne le XRP comme le choix supérieur pour un actif numérique mondial.

Farina further argues that XRP is uniquely positioned to become the backbone of the global financial system, especially in the context of CBDCs. According to him, XRP’s regulatory compliance and technical capabilities make it the only digital asset that can dethrone Bitcoin and facilitate instant, large-scale value transfers.

Farina affirme en outre que XRP est dans une position unique pour devenir l’épine dorsale du système financier mondial, en particulier dans le contexte des CBDC. Selon lui, la conformité réglementaire et les capacités techniques du XRP en font le seul actif numérique capable de détrôner Bitcoin et de faciliter des transferts de valeur instantanés à grande échelle.

Farina suggests that blockchain technology, including Bitcoin and XRP, is ultimately geared toward enabling CBDCs. He dismisses the notion that Bitcoin was created to undermine traditional financial systems, framing it instead as a government-controlled experiment.

Farina suggère que la technologie blockchain, y compris Bitcoin et XRP, vise en fin de compte à permettre les CBDC. Il rejette l’idée selon laquelle Bitcoin a été créé pour saper les systèmes financiers traditionnels, le présentant plutôt comme une expérience contrôlée par le gouvernement.

In his view, XRP and similar assets like it are the “final product” intended to integrate seamlessly into a revamped global financial system.

Selon lui, le XRP et les actifs similaires constituent le « produit final » destiné à s’intégrer de manière transparente dans un système financier mondial remanié.

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— TimesTabloid (@TimesTabloid1) July 15, 2023

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Farina also emphasizes the importance of early adoption in the cryptocurrency space. He advises individuals to invest in XRP and other promising digital assets, positioning them as key components of the future financial landscape.

Farina souligne également l’importance d’une adoption précoce dans le domaine des crypto-monnaies. Il conseille aux particuliers d'investir dans le XRP et d'autres actifs numériques prometteurs, les positionnant comme des éléments clés du futur paysage financier.

Advising readers to conduct their own research, Farina predicts that early XRP holders will have opportunities like lending their holdings to financial institutions and earning yields without selling their assets.

En conseillant aux lecteurs de mener leurs propres recherches, Farina prédit que les premiers détenteurs de XRP auront des opportunités telles que prêter leurs avoirs à des institutions financières et obtenir des rendements sans vendre leurs actifs.

This content is meant to inform and should not be considered financial advice. The views expressed in this article may include the author’s personal opinions and do not represent Times Tabloid’s opinion.

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